jeudi 22 janvier 2009

Conflit gazier entre le Russie et l'Ukraine: une solution est trouvée


Aprés de nombreuses négociations, la Russie et l'Ukraine ont négocié un nouvel accord gazier

L'accord conclu lundi prévoit que Kiev s'acquittera du prix du marché avec un rabais de 20% au premier trimestre, soit 360 dollars pour 1.000 mètres cubes. Les tarifs devraient ensuite baisser avec l'évolution des cours du pétrole.

"L'Ukraine a obtenu un prix spécial", a fait valoir Timochenko lors d'une réunion du gouvernement. "Pour l'Ukraine, il s'agit d'une véritable victoire".

Il faut noter que la Russie faisait bénéficier d'un tarif préférentiel à l'Ukraine depuis de nombreuses années, largement inférieur au prix du marché...Et ceci, au nom de l'amitié séculaire qui relie les deux peuples, les russes n'oubliant ainsi pas non plus que Kiev est le berceau historique de la civilisation russe.

Station de compression de gaz à Boyarka près de Kiev

Les pays des Balkans ont ainsi commencé à recevoir à nouveau du gaz russe transitant par l'Ukraine mercredi.

Le gaz russe a commencé à alimenter à nouveau le sud-est de l'Europe mardi à la suite du règlement du différend tarifaire entre l'Ukraine et la Russie qui a provoqué une interruption de l'approvisionnement en gaz russe en Europe dont les Balkans.

Le monopole gazier serbe Srbijagas a commencé à recevoir l'intégralité de ses livraisons en gaz russe mercredi matin, a déclaré le directeur général de l'entreprise, Dusan Bajatovic.

"Depuis 8h00, heure locale, nous sommes en mesure de recevoir des livraisons quotidiennes de 10 millions de mètres cubes et de les distribuer à l'ensemble de nos clients", a-t-il dit-il dans une interview.

Face à la pénurie, la Serbie était approvisionnée en gaz par la Hongrie et l'Allemagne. Ces livraisons ont pris fin mercredi avec la reprise de la fourniture de gaz russe, a dit Bajatovic.

Le principal opérateur gazier bosniaque BH Gas a également confirmé la reprise des livraisons mercredi matin.

Le contrat conclu avec l'opérateur allemand E.ON qui alimentait la Bosnie depuis le 9 janvier pour compenser l'interruption des livraisons a été résilié.

En Macédoine, le fournisseur de gaz Gama a déclaré que la "pression augmentait dans les stations de pompage qui vont être totalement opérationnelles" dans le courant de la journée. "L'intégralité de l'approvisionnement des clients sera rétablie demain", a précisé l'entreprise.

La Croatie a également repris la plupart de ses livraisons de gaz, a annoncé le ministère de l'Economie mardi soir. Les restrictions sur l'alimentation des clients industriels et des centres commerciaux, en vigueur depuis dix jours, ont été levées.

La Roumanie a aussi recommencé à être approvisionnée mercredi matin, a fait savoir l'opérateur local Transgaz.

jeudi 18 décembre 2008

Guerre en Ossetie: Vous avez la parole!

La SFJP vous invite à donner votre avis sur les évènements en Ossetie et en Géorgie. Pour cela votez en haut à gauche de votre écran (plusieurs réponses possible)

lundi 15 décembre 2008

Guerre en Ossetie: quand la Georgie attaque


L'été dernier à été marqué par un événement important sur la scène internationale. Porté par le soutient militaire politique et logistique des pays occidentaux et profitant de la trêve olympique, Mikheil Saakachvili voulant reconquérir sa légitimité perdue du fait de ses errements économiques et démocratiques de ces dernières années, s'est cru investi d'une mission divine pour propager son modéle autocratique dans une province qui l'a démocratiquement refusé.
Sans déclaration de guerre préalable, Mikhail Saakachvili a décidé unilatéralement de rompre le cessez-le-feu avec l'appui de militaires américain (cf le canard enchainé). Dans un déferlement de violence, des milliers d'ossétes qui ne demandaient qu'a vivre dans la paix et la démocratie onté été assassinés. Et sans intervention des forces russe pour défendre ce pays allié, la barbarie aurait pu aller beaucoup plus loin.
Dans un ancien sondage nous vous demandions votre réation aux élections en Géorgie, vous aviez majoritairement répondu que c'était la preuve que la Russie devait y défendre les droits de l'Homme, c'est la politique qu'ont poursuivi Dimitri Medvedev et Vladimir Poutine.
Les médias occidentaux ont donné une fois de plus une vision biasé de cette guerre. Alors que dans un premier temps ils reconnaissait la responsabilité de la géorgie, une semaine plus tard, ils se convertissait tous a la vision du dictateur géorgien: La russie aurait prémédité une attaque de la Géorgie, et poussé Saakachvili à tuer des civils ossétes.

Le droit des peuples à disposer d'eux même, le droit de fonder une nation souveraine, le droit de décider démocratiquement de son avenir, semble donc devoir s'arrêter là où les intêret des pays occidentaux commencent. En effet aujourd'hui les pays occidentaux refusent à l'Ossetie du Sud et à l'Abkhazie ce qu'ils ont acceptés pour le Kosovo. Il n'y a plus qu'une seule loi qui régit les rélations internationales, c'est celle du plus fort.

La SFJP appele l'ensemble des peuples occidentaux à reprendre raison et demande aux gouvernements de prendre conscience de la situation historique dans laquelle nous nous trouvons en trouvant la voie d'une résolution pacifique du conflit en reconnaissant l'indépendance de l'Akhazie et de l'Ossetie du sud

Aprés quelque péripeties nous revoilà

La SFJP a connu quelques difficultés notamment financières ces derniers temps. Ce qui ne nous a pas permis d'effectuer notre travail de journaliste aussi efficacement que par le passé. Nous revenons aujourd'hui, fort d'une actualité qui une fois de plus révèle la vérité de nos analyses. Nous continuerons sur cette ligne qui est la notre afin de promouvoir la réalité factuelle en Russie comme dans le monde

mercredi 5 mars 2008

Medvedev élu, un résultat logique qui valide une politique


Avec 99,4 % des bulletins de vote dépouillés, M. Medvedev obtient 70,23 % des voix, loin devant le communiste Guennadi Ziouganov (17,76 %), l'ultranationaliste Vladimir Jirinovski (9,37 %) et le pro-européen Andreï Bogdanov (1,29 %). Selon la Commission électorale, le taux de participation a été de 69,61 %.

La SFJP félicite M. Medvedev pour son élection. Nous tenons également à remercier Vladimir Poutine pour son action à la tête de notre pays.

Avec 70% des russes qui se sont déplacé aux urnes la victoire de Medvedev est indiscutable. Le fait que 70% des Russes aient voté pour lui, lui confère d'ailleurs une grande légitimité pour continuer la politique menée par Vladimir Poutine.

Avant même les élections les médias occidentaux menaient une campagne de propagande visant à faire passer les Russes pour des betes à cornes, ce qui nous rappelle de sombre pages de notre histoire. Les élections russes sont autant légitime que les élections occidentales. La SFJP appelle l'Occident à respecter le droit des peuples à disposer d'eux même en laissant les Russes choisir librement leurs dirigeants sans pression exterieure. La SFJP attend d'ailleurs avec impatience la présence d'observateurs de la CEI pour vérifier la sincérité des scrutins américains ou français.

Avec tous nos vœux de réussite pour le nouveau président, la SFJP fera de son mieux pour promouvoir la vision Russe dans les sociétés francophone.

vendredi 29 février 2008

Contre l'indépendance du Kosovo, Adherez à la SFJP

Dans ce contexte international où les puissances occidentales manipulent les peuples et les font se monter les uns contre les autres pour leur seul profit, il faut que les francophone désireux de défendre la vérité et les droits de l'Homme s'associent à la SFJP afin de défendre et rétablir la vérité en France et en Europe.

Pour cela, Adhérez !

Envoyez vos coordonnées à: adhesion.sfjp@laposte.net

jeudi 28 février 2008

Kosovo: Courage fuyons!


Par Alexeï Pankine, pour RIA Novosti


"Qu'y a-t-il de si particulier dans la situation au Kosovo par rapport à d'autres conflits similaires? Pourquoi l'indépendance du Kosovo a-t-elle été reconnue à la hâte par les Etats-Unis et la plupart des Etats de l'UE?", ai-je demandé par écrit à Georgi Derlugian, professeur russe à la Northwestern University de Chicago, et l'un des principaux spécialistes mondiaux du Caucase. Pour toute réponse, il m'a envoyé un hyperlien vers un documentaire intitulé "The Albanian Brooklyn Connection", réalisé par des Hollandais, sorti en février 2005 et diffusé aux Etats-Unis par la chaîne de télévision publique PBS.

Le personnage central du film, qui se nomme Florin Krasniqi, est un Américain d'origine kosovare. Il se livre à des activités de lobbying aux Etats-Unis en faveur de l'indépendance du Kosovo. "Je suis heureux de vous annoncer que nous avons déjà recueilli aujourd'hui 510.000 dollars", voit-on s'exclamer Richard Holbrook, ancien sous-secrétaire d'Etat américain chargé de la Yougoslavie sous Bill Clinton, au cours d'un déjeuner de charité organisé par Krasniqi en 2004 en faveur du candidat démocrate à la présidentielle. Avant cette intervention, on le voit en compagnie de l'ancien commandant en chef des forces de l'OTAN Wesley Clark en train de parler amicalement avec des anciens combattants de l'Armée de libération du Kosovo. C'est ce même Holbrook, actuel conseiller de Hillary Clinton, qui vient d'accuser la Russie d'avoir provoqué les troubles actuels en Serbie.

Parallèlement à la collecte d'argent, Krasniqi achète légalement aux Etats-Unis des armes ("pour chasser les éléphants en Tanzanie", explique-t-il au vendeur en faisant l'acquisition d'un fusil gros calibre), pour les envoyer par la suite illégalement et par cargaisons de plusieurs tonnes au Kosovo, placé, rappelons-le, sous la tutelle des Nations unies et de l'OTAN. "Celui-ci pourrait même abattre un hélicoptère", dit-il en montrant à des membres de sa famille, au Kosovo, le fameux fusil destiné à la "chasse aux éléphants".

Voici encore quelques extraits et citations du film, qui ne contient guère de commentaires, juste les monologues du Kosovar américain et ses réponses aux brèves questions posées par le réalisateur.

"L'argent fait des miracles dans ce pays [Etats-Unis]. Les sénateurs et congressmen ont besoin de dons, et si vous les financez, si vous collectez de l'argent pour leur compte, ils s'empresseront de vous renvoyer l'ascenseur".

A la question de savoir si la proclamation de l'indépendance du Kosovo provoquerait une guerre, il répond: "J'espère que non. Mais si la guerre est inévitable, nous y sommes prêts. Cela aura sans doute lieu d'ici un an et demi (rappelons que le documentaire a été tourné en 2004 - A.P.). Si cela n'arrive pas ce printemps, ce sera au printemps prochain. Si le Kosovo n'obtient pas l'indépendance, il y aura une guerre".

"Les Nations unies ne savent pas de quoi nous sommes capables. Si nous avons réussi à attirer l'OTAN ici, pour qu'elle nous aide à nous libérer, je pense que nous sommes à même de faire en sorte que les Nations unies disparaissent de ce territoire".

Et voici un dialogue entre Krasniqi et la présentatrice (et réalisatrice) du film:

"- J'ai parlé avec un représentant de l'OTAN à Pristina, et il m'a dit qu'ils parvenaient efficacement à désarmer les Albanais.

- Ha! ha! Tout ça c'est de la propagande otanienne... Ni l'OTAN, ni personne d'autre ne réussira jamais à désarmer les Albanais. Nous avons connu une histoire si épouvantable que nous n'avons plus confiance en personne. Les Albanais du Kosovo sont très bien armés, et même si l'OTAN se retire d'ici, ou si nous n'accédons pas à l'indépendance par des moyens pacifiques, nous utiliserons nos armes afin de parvenir à nos fins".

Voici en quoi consiste la particularité du Kosovo: les soldats de la paix, qu'ils appartiennent à l'OTAN ou bien à l'ONU, ne représentent pas un moyen de faire respecter la loi et l'ordre, ils ne sont même pas un instrument du jeu géopolitique des Etats qui les y ont envoyés, mais plutôt un jouet entre les mains des séparatistes. Soit ils constituent un moyen pour ces derniers de parvenir à leurs fins, soit ils choisissent d'y faire obstacle. Dans ce dernier cas, les séparatistes retourneront les armes contre leurs "défenseurs".

Peut-être le secret de l'indépendance du Kosovo réside-t-il dans le fait que les Etats-Unis et les Européens se sont rendu compte de cette réalité, et ont eu subitement la frousse? En d'autres termes, dans le jeu international "policiers contre brigands", peut-être que ce sont les brigands qui l'ont finalement emporté sur les policiers? A propos, cela force le respect, sous tous les aspects, hormis l'aspect juridique.

Il y a quelque chose d'étrange dans la manière qu'ont les démocraties développées d'organiser des opérations policières internationales. En sauvant la population albanaise du Kosovo en 1999, l'OTAN n'a pas lutté contre les combattants, ce qui aurait nécessité de déployer une opération terrestre et entraîné des pertes humaines, mais a détruit l'infrastructure civile de la Serbie ("Pas un seul Serbe innocent ne sera victime des armes que nous achetons. Les Serbes innocents ont été tués dans les bombardements [otaniens]", prononce avec mépris Florin Krasniqi).

Les pays voisins en ont également pâti: les ports ukrainiens dans le delta du Danube ont été accablés par le chômage pendant plusieurs années, car la destruction des ponts de Belgrade avait paralysé la navigation sur l'une des artères de transport les plus empruntées de l'Europe.

Aujourd'hui, en 2008, se sentant devenir des cibles, les "policiers" ont trahi le droit international qu'ils étaient apparemment censés défendre. Ils ont cédé au chantage sans penser aux conséquences. Lesquelles? "Au-delà de cette colline, c'est le Kosovo, et de ce côté-ci, c'est l'Albanie. Pour moi, l'Albanie c'est tout cela", explique Krasniqi.

Ils s'enfuiront également de l'Irak, qu'ils ont eux-mêmes transformé en un foyer de terrorisme international, pour se cacher bien au chaud dans leur lointain pays d'outre-Atlantique, en laissant la gestion des conséquences à ceux qui se trouvent à proximité et qui ont toujours affirmé qu'il ne fallait pas y mettre le nez.

Est-ce cette OTAN que souhaitent si passionnément intégrer l'Ukraine et la Géorgie? Sur quoi comptent-elles, hormis le fait que leurs conscrits apprennent à parler anglais?

Les opinions exprimées dans cet article sont laissées à la stricte responsabilité de l'auteur.

"On a ligoté la Serbie en vue de l'amputation"

La SFJP invite l'ensemble des internautes à se faire un avis par eux même sur l'indépendance du Kosovo et Metochie en visionnant l'interressant débat de l'émission "ce soir (ou jamais)"


http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/videos.php?id_rubrique=207&type=emission&video=20080227_csoj.wmv

Pour une fois, une émission du service public français ose sortir de la vision ethnocentriste occidentale en permettant aux diverses opinions de s'exprimer librement.

En invitant des indépendantistes basques et flamands, les producteurs montrent bien que l'indépendance du Kosovo et Méthochie ouvre la porte à une balkanisation de l'Europe.

La SFJP salue cette initiative courageuse de la direction de france 3 qui sort de l'idéologie dominante, et qui en offrant aux différents acteurs la possibilité d'exprimer leurs opinions et leurs arguments permet a chacun de comprendre les intérêts géostratégiques de l'indépendance du Kosovo et Méthochie.





Voici la nouvelle base américaine au Kosovo. (Intérêt géostratégique?)

samedi 23 février 2008

La réalité des serbes du Kosovo

La réalité Serbe au Kosovo, ou ce que les médias français ne montrent jamais





Le dessous des cartes est parfois différent de la réalité décrite par certains...

La SFJP appelle les français à se soulever contre l'indépendance du Kosovo


La SFJP se joint à l'appel de la communauté serbe de France et appelle les français à manifester massivement leur soutien pour le Kosovo et Métochie

Dimanche 2 Mars à 12h44, (l'horaire est lié à la résolution 1244 de l'ONU)
place de la République, à Paris XI°


Site de l'Association sportive et culturelle serbe:
http://www.orlovi.com


Voici le:
Flyers
http://www.orlovi.com/img/Manif_2Mars_Fly.jpg

Affiches
http://www.orlovi.com/img/Manif_2Mars_Affiche.jpg


Défendre le droit des peuples à disposer d'eux mêmes, ce n'est pas les opposer entre eux!

Kosovo: Tribune de Chevenement dans le Figaro

La reconnaissance du Kosovo, c'est une triple faute

Jean-Pierre Chevènement.
Jean-Pierre Chevènement. Crédits photo : Le Figaro

Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre, se demande «si la France est assez futile pour se flatter d'avoir un nouvel ambassadeur dans sa capitale avant même que le Parlement ait été saisi».

M. Thaçi a déclaré l'indépendance du Kosovo et derechef nos médias s'illuminent devant la profusion des drapeaux agités à Pristina. On peine un peu à nous expliquer la signification du nouveau drapeau kosovar, vu la difficulté à justifier que les étoiles censées représenter les «minorités ethniques» sont précisément rejetées à l'extérieur du dessin du pays.

Reconnaître «l'État du Kosovo», c'est une triple faute.

Une faute contre l'histoire. Celle-ci, contrairement à ce qui s'est passé pour les pays Baltes, n'a jamais connu de Kosovo indépendant. Longtemps soumis au pouvoir turc (comme le fut aussi la Serbie), le Kosovo était, depuis plusieurs décennies, partie intégrante d'un État né par accord international : la Yougoslavie. Au sein de cet État fédéral il faisait partie de la Serbie qui, comme il a été mille fois rappelé, plaçait dans le Kosovo l'origine même de son identité. Que la démographie ait changé, assurément. Belgrade elle-même favorisa cette évolution en accueillant généreusement dans sa province du Kosovo les Albanais qui fuyaient la dictature d'Enver Hodja. Il y avait là matière à imaginer un régime d'autonomie. Cela fut fait. On sait que Milosevic supprima ce régime. Certains, qui auront la curiosité de lire les chroniques, découvriront que l'une des raisons de cette décision fut la plainte des Serbes qui étaient fort mal traités dans un Kosovo «autonome». Milosevic abolit l'autonomie. Il fit mal. Mais la réponse n'est certes pas d'aller à l'excès inverse, créer un État là où il n'y en eut jamais un. Ou alors allons jusqu'au bout. Bafouons l'histoire : reconnaissons la République turque de Chypre ; intéressons-nous au Cachemire ; découpons un peu en Espagne, au Mali, au Tchad, etc., et en France, pourquoi pas ?

Les Français ne veulent plus rien savoir de l'histoire. Mais ce qui est tout récent devrait quand même rester en mémoire et faire réfléchir. La Serbie, objet aujourd'hui de tant de critiques, n'a pas fait la moindre difficulté pour reconnaître l'indépendance du Monténégro, preuve qu'il ne s'agit pas de la part de Belgrade d'attitude obtuse maniaque.

Une faute contre le droit. Il y eut guerre, déclenchée en 1999 par l'Otan en ignorant les principes du droit international, pour mater les Serbes coupables d'avoir réprimé durement trop durement un mouvement d'indépendance qu'ils qualifiaient de terroriste.

Mais la guerre aérienne de l'Otan n'a rien réglé. Pour vaincre, l'Otan devait aller à terre, ce que les Alliés, pas fous et se rappelant la manière dont les divisions nazies furent accrochées, ne voulaient pas. On négocia donc un nouvel accord Serbes-Russes-Américains-Européens qui déboucha sur une résolution des Nations unies, celle dont on voudra bientôt nous faire oublier l'existence, mais qui est le seul droit applicable : la résolution 1244, du 10 juin 1999 : réaffirmation de l'attachement de tous les États membres à la «souveraineté et à l'intégrité territoriale de la République fédérale de la Yougoslavie ». Appel en vue d'une «autonomie substantielle et d'une véritable auto-administration du Kosovo».

Autonomie. Pas d'indépendance, pas de nouvel État. Préservation de ce vieil acquis européen que sont les accords d'Helsinki. C'est à cette condition qu'il y eut paix, et que l'Europe (et les États-Unis) s'épargnèrent une guerre horrible.

Certes une résolution n'est pas intangible. Si le Conseil de sécurité juge que les Kosovars ont raison de proclamer leur indépendance, il adoptera une nouvelle résolution qui se substituera à la résolution 1244. Mais si le Conseil de sécurité ne modifie pas la résolution 1244 et il ne le fera pas , le droit reste aujourd'hui ce que dit ce texte.

Que la France, après les beaux discours de 2003 sur le respect du droit, suive l'exemple des États-Unis et de la Grande-Bretagne est une triste évolution. Nous n'aurons rejoint le camp ni des réalistes ni des cyniques, mais celui des veules, de ceux qui se refusent, par lâcheté, à négocier encore et toujours.

Une faute contre l'Europe unie. Nous sortons d'une de ces brèves périodes où l'on nous a refait le coup de l'Europe projet, de l'Europe politique.

Et si le Kosovo, situé lui aussi comme on le disait avec excitation de la Bosnie, à deux heures d'avion, n'était pas précisément un beau sujet de délibération pour l'Europe unie à laquelle nous sommes censés tant aspirer. Et que fait donc l'Europe unie ? Rien. Bien sûr, sinon constater ses divisions.

Mais faute contre l'Europe, au sens plus large, l'Europe de nos pères, l'Europe de l'Atlantique à l'Oural, l'Europe qui veut bien accepter de considérer que la Russie n'est pas une steppe peuplée de Tatars aux yeux cruels, que les Slaves sont aussi européens, et allons jusqu'au bout de l'ouverture que les Slaves orthodoxes sont aussi européens. La singularité de la France fut d'être ce pays occidental, majoritairement de culture catholique mais heureusement de tradition laïque, qui tendait la main à l'Orient orthodoxe et noua en particulier de solides relations avec la Serbie et avec la Russie. Vis-à-vis de Belgrade, notre seule offre est celle de l'argent européen. Et vis-à-vis de Moscou, faut-il prendre les devants, déployer des éléments de système antimissile, agiter des drapeaux américains à la barbe des vieux popes ? Prenons garde, dans notre excitation, de ne pas perdre entièrement raison. Réputée bien théoriquement vieux pays recru d'épreuves, etc., la France est-elle assez futile pour se flatter d'avoir un nouvel ambassadeur dans sa capitale avant même que le Parlement ait été saisi, et de gâcher très sérieusement des chances de paix sur le continent ? Alors que l'on peut tout aussi bien faire comprendre comme c'est le cas pour les Chypriotes que la négociation est toujours possible et vaut mieux mille fois mieux que le «bling-bling» d'une «reconnaissance» à la remorque.

http://www.lefigaro.fr/debats/2008/02/20/01005-20080220ARTFIG00655-la-reconnaissance-du-kosovo-c-est-une-triple-faute.php
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Kosovo ou comment monter les peuples les uns contre les autres!


"L'indépendance du Kosovo est un précédent horrible", a dit le président Poutine lors d'un sommet non officiel de la Communauté des Etats indépendants à Moscou.

"En fait, elle fait voler en éclats tout le système des relations internationales n'existant pas seulement depuis plusieurs dizaines d'années, mais depuis des centaines d'années", a estimé le président Poutine.

Le leader russe a estimé que la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo apporterait des conséquences imprévisibles pour la stabilité de la région balkanique, et nous n'en doutons pas, pour de nombreux pays de l'UE dont les minorités ethniques verront d'un œil bienveillant cette déclaration d'indépendance unilatérale. En effet, la position juridique des basques ou catalans espagnols, des flamands en Belgique, des Ecossais, gallois au Royaume-Uni ne sont pas inférieures à celle des Kosovars: demain, une Europe Balkanisée?

Les partisans de l'indépendance du Kosovo "ne pensent pas aux conséquences de ce qu'ils font", a ajouté M.Poutine.

L'annonce de l'indépendance du Kosovo et le soutien politique des gouvernements occidentaux à , comme il était prévisible, déchainée une flambée de violence dans la région. Attaque d'ambassade, manifestations, attentats sur les postes frontières, ostracisme des minorités ethnique.... et velléités d'indépendance des serbes de Bosnie.

Et cela était prévisible tant le Kosovo n'est qu'une arme utilisée par les américains contre la Russie. Pensez vous une seconde que G.W Bush soit attaché au droit des peuple à disposer d'eux même? Non il défend ses intérêts, les intérêts des occidentaux, il cherche à étendre sa zone d'influence et à diminuer celle de la Russie. En s'attaquant au berceau de la nation serbe il ne pouvait pas arriver autre chose qu'une flambée de violence dans la région, et les Occidentaux en étaient parfaitement conscient...

La logique de la diplomatie occidentale est claire depuis 20 ans: repousser la Russie le plus possible, quitte à enfreindre le droit international (Kosovo), à mettre en place des régimes fantoches, corrompus et/ou meurtriers (Géorgie, Ukraine), ou à agiter la carotte de l'adhésion à l'UE comme un outil militaire et non comme le voulaient Monet et Shuman, pour unir les peuples dans la paix.

Et lorsqu'il n'arrive pas à mettre au pouvoir un régime fantoche, pseudo démocratique, il cherche alors à démembrer ce pays ét particulièrement quant ce pays est un ancien et/ou actuel allié de Moscou. Ainsi, dans la logique des néo conservateurs, si la Serbie avait mis en place un régime pro-occidental, résolument tourné vers Washington et Bruxelles, croyez- vous une seule seconde que le Kosovo ne se serait déclaré indépendant ?

La volonté de notre président de défendre les intérêts slaves est la bonne, tant pour les intérêts slaves que pour la paix des peuples en Europe, c'est d'ailleurs pour cela que certains pays Européens comme l'Espagne ne reconnaissent pas l'indépendance du Kosovo.

lundi 18 février 2008

Kosovo, une énième provocation




Le Kosovo vient de déclarer son indépendance. Et l'ensemble des grandes puissances occidentales crient à l'émergence d'un nouveau pays. Ceci une nouvelle attaque contre les intérêts slaves. La SFJP soutient l'idée du droit des peuples à décider d'eux mêmes, nous adhérons également à l'idée qu'une nation est une communauté de destin. Mais de quelle nation parle-t-on, de quel territoire parle-t-on? Le Kosovo a toujours été une terre serbe et ce n'est que depuis l'invasion du kosovo par les forces de l'OTAN que les albanais sont majoritaires sur ce territoire. Si le Kosovo est reconnu par les instance internationales pourquoi celles-ci refusent de donner leur indépendance à la PMR, à l'Abkhazie, à l'Ossetie qui se sont déclarées indépendantes, ont leur gouvernement propre, leurs institutions, et qui fonctionnent de manière autonome depuis longtemps. La réponse est simple: les puissances occidentales mènent une guerre aux intérêts slaves.
Cette independance est une vaste farce dans laquelle les médias sont en train d'entrainer les peuples occidentaux, si la reconnaissance du Kosovo venait à se confirmer, la SFJP appelle à faire respecter le droit des minorités et celui des peuples à disposer d'eux-mêmes par la reconnaissance de la Transniestrie, de l'Abkhazie, de l'Ossetie du sud, du Kurdistan et tant qu'on y est de la Gagaouzie.


VIVE LE DROIT DES PEUPLES A DISPOSER D'EUX-MÊMES, VIVE LA TRANSNIESTRIE, L'ABKHAZIE ET L'OSSETIE LIBRES ET INDEPENDANTES.

vendredi 11 janvier 2008

Résultats des sondages

Vous avez très nombreux a participer à nos sondages hivernaux et nous vous en remercions.
sur le fait que Vladimir Poutine serai premier ministre en cas de victoire de Medvedev
70% (52 votants) se sont déclarés très satisfait 4% (3 votants) se disent satisfait Pour 17% ce fut un soulagementet seulement 6 personnes sur 74 votants ont dénier soutenir Garry Kasparov dont la carrière politique est en train de s'arrêter et de tomber dans les oubliettes de l'Histoire

Sur Poutine homme de l'année 2007, l'ensemble des sondés ont salué cette nomination insistants sur le fait que c'est une récompense logique (55 votant et 67%).

On le voit notre blog progresse, de plus en plus de votants, de plus en plus d'adhérants, de plus en plus de personnes qui soutienne Poutine


Elections en Géorgie: la démocratie humiliée







La situation en Géogrie tourne de plus en plus à la farce démocratique: le président pro-américain Mikhaïl Saakachvili s'accroche au pouvoir avec la détermination comme les armes d'un dictateur africain.

Tout commence le 7 novembre quand une manifestation de l'opposition est violemment réprimé par le pouvoir de Tbilissi, légitimant de facto le credo de l'opposition: Saakachvili est un dictateur.
La fermeture des médias d’opposition, la violence des forces de police, la promulgation de l’état d’urgence et enfin le défi des critiques internationales montraient bien le choix fait par l'administration géorgienne. Saakachvili a meme légitimé la violence policière par la théorie du complot: un ensemble disparate d'oliguarques russes, de puissance étrangères, voire de voisins respectueux des droits de l'homme (eux) seraient à l'origine des manifestations, pardon du coup d'état. Il est remarquable que les observateurs de l'UE présent en Géorgie n'ont rien constaté qui va dans ce sens: du coup 2 solutions, ou les "puissances étrangères"sont intra-UE, ou elles n'existent pas. D'un autre coté, Mikhail connait bien la puissance de la rue, il est arrivé au pouvoir sur un coup d'état...(comme Mubutu, Khadafi, Kabila....)

Du coup, le 8 novembre, Saakachvili décide, contre l'avis de l'opposition, des élections présidentielles anticipées. Avec la mise en place de l'état d'urgence, Saakachvili dispose d'un blanc seing politique: il peut tout faire pour etre réellu.En effet, les chaines privées, comme Imedi, opposées à Saakachvili, sont interdites d'antenne tandis que les médis pro pouvoir émettent 24/24. Son parti, le Mouvement National, est une véritable machine de guerre débordant d'argent provenant des fondations Ford et Rockfeller, vitrines publiques de la CIA.
Du coup, la campagne se déroule dans un climat de suspicion et de peur, faisant dire au chef désigné de l'opposition Levan Gatchetchiladzé que le gouvernement géorgien avait recours à "la diffamation et la terreur".

Le 6 janvier 2008, jour des élections, l'administration géorgienne déclare que le président sortant Saakachvili est réellu avec plus de 50% des voix, dès le premier tour. des manifestations éclatent et font reculer le pouvoir, qui affime alors que Saakachvili n'obtient plus la majorité des suffrages et que doit donc se mettre en place un second tour.

Le 8 janvier, Saakachivili est proclamé président avec 52,8% des voix. Soutien clair et massif de l'UE et des Etats-Unis indiquant que le srutin était "démocratique et parfaitement légitime"-entendez par là que c'est leur candidat qui a gagné-, champagnes et cocktails dans leurs chancelleries à Tbilissi. Seule la Russie à clairement indiqué que cette élection était irrégulière et anti-démocratique, se mettant ainsi dans le camp des défenseurs des droits de l'homme, cette idéologie des puissances occidentales qu'elles n'appliquent que lorsque cela les arrangent (Irak, Birmanie...) mais jamais lorsque un pro-occidental est au pouvoir: Tunisie, Lybie, Pérou sous Fujimori, ou meme Australie sous l'ancien premier ministre.

Aujourd'hui, le climat géorgien est extremement tendu et propice à l'explosion de violence communautaire entre les différentes ethnies. La manipulation des urnes, la confiscation de la parole politique, la violence étatisée n'auront pour conséquence que de légitimer des coup d'états futurs.
De la Révolution des Roses, il n'en reste que les épines...

La SFJP vous souhaite une bonne Année 2008


Après des vacances bien mérités, nous voici donc en 2008. La Section française des jeunesses poutiniennes souhaite à tous les internautes une bonne année, en espérant que celle ci voie Poutine rester au commande de la Russie pour le bonheur de tous. Nous souhaitons que 2008 soit l'année de libération pour les peuples opprimés d'Abkhazie et d'Ossetie. Nous reviendrons plus longuement sur la situation en Géorgie dans un futur post car la situation est révélatrice de la politique internationale des occidentaux. Nous voulons aussi que 2008 voit la situation au Kosovo évoluer vers la raison.

Pour ce qui est la SFJP nous souhaitons lancer un mensuel disponible sur internet: Le petit Poutinien, n'hésitez pas à nous faire parvenir vos suggestions d'article sur adhesion.sfjp@laposte.net.

dimanche 23 décembre 2007

Medvedev obtient le soutient des internautes

La SFJP remercie le grand nombre d'internautes qui ont participés à ce sondages (69) preuve que ce blog est en plein essor.
Il en ressort un résultat sans contestation possible. Medvedev est ainsi considéré comme le digne successeur de Poutine par 53% des votants tandis que 4% seulemnt pensent que non.
Il est à noter 12% d'ames perdu. Kasparov réalise un score à la russe avec 4% des internautes alors que le parti communiste réalise un bon score pour la France avec 5%.
La SFJP remercie les internautes de leur soutien à son action et à celle du kremlin et souhaite de bonnes fêtes à tous ses visteurs.

vendredi 21 décembre 2007

Interview de Vladimir Poutine sur courrier international



A la suite de la nomination de Vladimir Poutine comme homme de l'année voilà une interview caractéristique de sa politique.

Sur les relations avec les Etats-Unis :
"La Russie a démontré à plusieurs reprises par la politique menée pendant les quinze dernières années qu'elle ne veut pas être simplement partenaire mais aussi amie de l'Amérique. Mais parfois, on a l'impression que l'Amérique n'a pas besoin d'amis, que les Etats-Unis ont besoin de vassaux qu'ils peuvent commander."

Sur Anna Politkovskaïa :
"Vous savez que Politkovskaïa ne jouait aucun rôle dans la vie politique russe. Insinuer qu'elle représentait un danger pour le pouvoir est une absurdité. Je pense que son assassinat est tout simplement une provocation contre le pouvoir. Personne n'a jamais parlé d'elle, une poignée de personnes connaissait ses activités et à présent tout le pays et le monde en parle. C'est une provocation intentionnelle, on a choisi une victime emblématique et on l'a abattue, voilà tout."

Sur Kasparov et les arrestations lors des manifestations de l'opposition :
"Pourquoi, d'après vous, Kasparov, lorsqu'il a été arrêté, s'exprimait-il en anglais et non en russe ? A mon avis, c'est parce qu'il s'adressait à un public occidental. Quelqu'un qui veut être dirigeant de son pays doit penser aux intérêts de son propre peuple et parler dans sa langue natale".
"Regardez les résultats, ils ne font même pas 1 % des suffrages. Sur le plan politique, il n'y a aucune raison de s'en inquiéter. Je les vois comme un instrument aux mains d'Etats étrangers visant à s'immiscer dans les affaires intérieures de la Russie."
"En ce qui concerne les arrestations [lors de manifestations de l'opposition], le fait est que les manifestants ne veulent pas simplement exprimer leur opinion mais aussi être mis aux arrêts, provoquer le pouvoir pour le pousser à agir avec cruauté. Ils veulent manifester là où on le leur interdit. Je vous le dis en toute responsabilité : les autorités continueront de réagir de cette manière."

Sur sa formation d'agent du KGB :
"On nous a toujours appris à être autodidacte, à analyser la réalité des événements en cours, d'en tirer des conclusions et de réagir en conséquence."
"Bien sûr, certaines choses de nos expériences passées peuvent nous servir, d'autres ont disparu. Le plus important est que, à l'université comme au KGB, on nous apprend à réfléchir de façon autonome, à collecter une information objective, l'analyser et à partir de cela prendre des décisions."
"Travailler dans le renseignement, c'est savoir travailler avec des gens et avant tout les respecter."

Sur Gorbatchev, Eltsine et les années 1990 :
"Je ne crois pas que j'aurais été capable de faire comme Eltsine et Gorbatchev qui ont voulu mettre fin au système soviétique que le peuple de Russie ne pouvait plus supporter. Gorbatchev a fait le premier pas, et Eltsine a achevé cette transformation historique, très importante pour la Russie et son peuple. Gorbatchev et surtout Eltsine ont donné à la Russie la liberté."
"Mais les choses ont empiré [après la chute de l'URSS]. Ce fut une désillusion tragique parce qu'au nom de la démocratie, on a commencé à tout permettre ; au nom du marché, on a commencé à voler des millions et à enrichir quelques individus ; on a permis la dilapidation et le vol d'énormes ressources appartenant au peuple tout entier."

Sur la corruption :
"Nous n'arrivons pas à résoudre le problème de la corruption et à contrôler la situation en la matière. C'est plus complexe pour une économie en transition et un système politique en restructuration. Je dois franchement avouer que le système de contrôle par la société civile des activités des institutions d'Etat ne fonctionne pas."

Sur sa foi religieuse :
"Il y a des choses sur lesquelles je ne peux pas m'exprimer publiquement parce que cela paraîtra comme de l'autopromotion ou une sorte de strip-tease politique."
"J'ai une bible dans mon avion et je vole souvent. J'ai donc la possibilité de lire la Bible."

Sur son statut de "leader national" :
"Je pense qu'il ne s'agit pas d'une catégorie administrative, ni même politique. Cela n'est pas déterminé par le nombre de lignes téléphoniques mises à votre disposition dans le cadre de votre fonction. C'est une charge morale fondée sur la confiance du peuple."

mercredi 19 décembre 2007

Poutine est l'homme de l'année selon le Times !




Une fois n'est pas coutume, le Times magazine, grand journal américain s'il en est a fait un choix éditorial courageux: il a consacré Vladimir Poutine comme étant l'homme de l'année 2007 ! et cela, devant Al Gore, prix nobel de la paix, J.K.Rowling et Hu Jintao...
Le journal qui remet chaque année cette distinction au personnage le plus important de l'année a déterminé son choix par:

"And if Russia succeeds as a nation-state in the family of nations, it will owe much of that success to one man, Vladimir Vladimirovich Putin,

Putin has put his country back on the map,

Though he will step down as Russia's President in March, he will continue to lead his country as its Prime Minister and attempt to transform it into a new kind of nation,

He stands, above all, for stability—stability before freedom, stability before choice, stability in a country that has hardly seen it for a hundred years."

Meme si comme le dit le site du Times, cette distinction n'est pas honorifique et reflete plutot les rapports de force en oeuvre dans le monde, il s'avere qu'elle est souvent, et à raison, perçue comme tel.

La SFJP remercie la lucidité et la clairvoyance de ce choix qui conforte nos idées et notre soutien sans faille à Vladimir Poutine. Nous espérons que d'autres journaux, en particulier francophones, suivront le chemin tracé par le Times et reconnaitront ainsi, comme le dit avec justesse ce journal, qu'un "tsar is born".


Informations prises sur: http://www.time.com/time/specials/2007/personoftheyear/article/0,28804,1690753_1690757_1696150,00.html

mardi 18 décembre 2007

POUTINE PREMIER MINISTRE!



Voici la nouvelle que tous les amoureux de la Russie attendait avec impatience. Vladimir Poutine sera donc premier ministre si Medvedev remporte l'élection présidentielle. Une excellente nouvelle pour les russes et la Russie. La SFJP salue cette décision. La réforme et le renouveau de la Russie sont en marche. Avec Poutine comme premier ministre, Medvedev à un guide, une boussole qui fera en sorte que la Russie suive son chemin et que les russes prennent la voie de la prosperité. Vive Poutine président à tous jamais dans nos coeurs et nos esprits

Medvedev investit


Fort du soutien de Russie unie, Medvedev est donc investit pour la course au Kremlin. La politique engagé par Vladimir Poutine va pouvoir se poursuivre, le peuple russe fait entièrement confiance à l'actuel vice premier ministre. La SFJP s'associe aux propos de ce dernier: "les grands Etats comme notre pays n'ont une chance de moderniser la vie qu'une fois tous les cent ans" et aujourd'hui seul le duo Medvedev Poutine est en capacité d'emmener notre patrie vers les lumières célestes. Contrairement à l'Ancien Régime Eltsinien, les réformes engagées se traduirons dans les faits "Et ce, non pas pour un groupe de population mais pour tous les citoyens de notre pays. "
Voilà le président qu'il nous faut, lui qui à su remplacer dignement Vladimir Poutine à Saint Petersbourg saura travailler main dans la main avec lui pour donner à toute la Russie le lustre et le faste de l'ermitage.

vendredi 14 décembre 2007

Quand l'occident prend ses rêves pour des réalités!

La Russie et le monde seront bouleversés par l'assassinat de Vladimir Poutine à la sortie de la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou après la messe de minuit le 7 janvier 2008, prédit Andrew Kuchins du Centre d'études stratégiques internationales (CSIS) dans un rapport cité jeudi dans le journal Kommersant.

Le rapport, portant sur les scénarios alternatifs de développement de la Russie, sera présenté jeudi à Washington par le CSIS. Parmi ses auteurs figurent Thomas Graham, ancien directeur pour la Russie du National Security Council, Henry Hale, professeur de relations internationales à l'Université George Washington, Anders Aslund, expert au Peterson Institute for International Economics et d'autres encore. Mais c'est le pronostic d'Andrew Kuchins qui est le plus scandaleux de tous.

M. Kuchins, note le Kommersant dans un article intitulé "La Russie et le monde seront bouleversés par l'assassinat de Poutine", estime que les assassins du président russe ne seront jamais retrouvés. La Russie sombrera dans le chaos, le marché des valeurs s'effondrera et des grèves et manifestations massives amèneront à la proclamation de l'état d'urgence dans le pays.

Andrew Kuchins suppose que le meurtre de Poutine perturbera les projets de transmission du pouvoir présidentiel à Sergueï Narychkine et du poste de premier ministre à Dmitri Medvedev, entraînant un renforcement des positions des "silovikis" (membres des "structures de force") au Kremlin, et notamment d'Igor Setchine, de Viktor Ivanov et de Nikolaï Patrouchev.

M. Kuchins s'est trompé dans au moins un de ses pronostics, en citant Sergueï Narychkine comme successeur de Vladimir Poutine. Le pronostic ultérieur, note le quotidien, ressemble au sujet d'un polar. Selon l'expert, après l'introduction de l'état d'urgence, c'est Vladimir Iakounine (président de la société Chemins de fer de Russie, RZD) qui deviendra le nouveau président russe et prendra des mesures rigoureuses afin de stabiliser la situation. Il fera fusiller notamment les employés des compagnies pétrolières en grève à Sourgout et condamnera à mort la gouverneure de Saint-Pétersbourg, Valentina Matvienko, et le maire de Moscou, Iouri Loujkov, pour détournement de milliards de dollars.

Après une série de bouleversements politiques et économiques, un "happy end" nous attend, selon Andrew Kuchins: en 2016, avec l'aide de Mikhaïl Khodorkovski libéré de prison, c'est Boris Nemtsov qui occupera le poste de président russe.

Le plus étonnant, fait remarquer le Kommersant, c'est que l'auteur de ce scénario fantastique, ancien président de la Fondation Carnegie de Moscou, est l'un des kremlinologues les plus informés et les plus influents aux Etats-Unis. A la veille du sommet du G8 de Saint-Pétersbourg en 2006, M. Kuchins avait adressé un message personnel à Vladimir Poutine, dans lequel il lui donnait des instructions concernant le respect des principes démocratiques et le persuadait que l'Amérique n'avait en aucun cas besoin d'une Russie faible, rappelle le journal.

jeudi 13 décembre 2007

Malgrès la désinformation, les internautes reconnaissent la vérité


La SFJP avait décidé le soir des élections législatives de lancer une consultation des internautes ceux ci devant répondre à la question suivante: Pensez-vous que la victoire de Vladimir Poutine est due aux fraudes électorales ?

Les résultats sont sans appel:

19% seulement ont voté OUI
66% ont voté Non
Aucune abstention
14% pense que c'est grâce a Garry Kasparov

Les résultats sont à l'image des élections, les internautes à l'unisson du peuple russe plébiscitent massivement Vladimir Poutine (66%) et ce contre la volonté des dirigeants occidentaux. Ceux ci désavoués par leur propre peuple ( 19% seulement pensent que la victoire de Russie unie est due aux fraudes électorale). De plus non content de consacrer Vladimir Poutine, une part non négligeable des internautes (14%) pense que la campagne du poulain occidental (Kasparov) était tellement peu légitime qu'elle a favorisé ce score historique de Russie Unie. Aprés les échecs on joue aux dames...

Pour les dirigeants occidentaux ce sondage n'est pas une simple défaite, c'est la Berezina.


mercredi 12 décembre 2007

Kosovo: La SFJP appelle l'occident à la raison


Ces dernières heures, la question de l'indépendance du kosovo à ressurgie sur le devant de la scène. Les diplomaties occidentales qui ne perdent pas une occasion de défendre leurs intérêts contre le peuple slave, essayaient de passer outre la médiation de la Russie et de la Serbie. Nous mettons en garde les diplomaties occidentales contre le risque permanent de balkanisation dans ces pays, monter les peuples les uns contre les autres ne doit pas être le corrolaire du droit des peuples à disposer d'eux même et c'est courrir le risque de nouveaux affrontements dans la région. La Russie qui a déjà à maintes reprises proposé son aide se montre une nouvelle foi disponible pour aider à trouver une solution négociée avec la Serbie. La SFJP interpelle solennellement l'omni-président Sarkozy afin qu'il adopte une nouvelle ligne de rupture avec la pensée unique occidentale.

lundi 10 décembre 2007

Medvedev cadidat des principaux partis de gouvernement, Votre avis nous interresse, VOTEZ

Après l'investiture de Medvedev, la SFJP lance une grande consultation auprès de ses internautes, exprimez votre avis en participant au sondage. (Sondage démocratique effectué sous contrôle des observateurs de la CEI)

Le choix évident de la continuité


Le président russe Vladimir Poutine a soutenu lundi l'initiative de quatre partis politiques qui ont proposé la candidature du premier vice-premier ministre Dmitri Medvedev au poste de président du pays.

Ces quatre partis sont Russie unie, Russie juste, le Parti agraire et Force citoyenne qui ont remporté au total plus de 75% des voix à l'issue des élections du 2 décembre dernier à la Douma (Chambre basse du parlement russe).

Vladimir Poutine a déclaré à maintes reprises qu'il ne briguerait pas un troisième mandat présidentiel, conformément à la Constitution russe.

Selon les hommes politiques, les politologues et les économistes, l'élection de Dmitri Medvedev permettra de poursuivre la ligne de Vladimir Poutine, de garantir la continuité de la politique du pays à la suite de la relève du pouvoir quand l'actuel président quittera au printemps prochain le poste de chef de l'Etat. Le nom de Dmitri Medvedev, parallèlement à celui de l'autre premier vice-premier ministre Sergueï Ivanov, avait été évoqué dans la presse et par des experts en tant que celui du candidat éventuel à la présidence.

"Nous voudrions vous proposer un candidat soutenu par nous tous. Il s'agit du premier vice-premier ministre Dmitri Medvedev", a déclaré le leader de Russie unie Boris Gryzlov lors d'une rencontre lundi entre le président russe et les leaders de quatre partis politiques.

Concernant la candidature de Dmitri Medvedev, M. Poutine a indiqué: " je le connais très bien, depuis plus de 17 ans, et je soutiens totalement cette candidature".

Russie unie entend proposer officiellement la candidature de Dmitri Medvedev au poste de président du pays à son congrès le 17 décembre prochain.

Guennadi Ziouganov, leader du KPRF (Parti communiste de Russie), l'un des quatre partis entrés à la Douma à l'issue des élections du 2 décembre dernier, a déclaré lundi que la présentation de la candidature de premier vice-premier ministre Dmitri Medvedev au poste de président n'était pas inattendue.

S'agissant de Vladimir Poutine, il a supposé qu'il pourrait rester lui aussi dans la haute politique, par exemple, à la tête de l'Union Russie-Biélorussie.

"Depuis de longues années, Dmitri Medvedev est le bras droit de Vladimir Poutine, son homme de confiance le plus proche", a rappelé Guennadi Ziouganov à RIA Novosti.

Le leader du KPRF, qui avait fait part de son intention de se présenter à l'élection présidentielle un peu plus tôt, a noté que M. Medvedev avait été le premier homme politique que le président avait fait entrer au gouvernement et qu'il avait cité comme successeur au poste de chef de l'Etat.

Guennadi Ziouganov a également supposé que la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev serait "suivie de démarches de Vladimir Poutine lui-même dans le sens de la fusion de la Russie et de la Biélorussie".

Selon le leader des communistes russes, à la fin de l'année prochaine, des amendements appropriés pourraient être apportés à la Constitution, un référendum sur la fusion des deux Etats pourrait être tenu et "Vladimir Poutine pourrait se mettre à la tête de l'Union".

Le Parti libéral-démocrate de Russie (LDPR) ne soutiendra pas le candidat d'un autre parti au poste de président du pays, a déclaré lundi devant les journalistes à Moscou le leader du LDPR Vladimir Jirinovski.

"Nous avons notre candidat et nous l'aurons toujours. Jamais durant ces 20 dernières années, nous n'avons soutenu d'autre candidat", a-t-il dit.

Selon M. Jirinovski, "peu importe au LDPR quel sera son rival aux élections". Il estime que tous les candidats proposés par les partis parlementaires "doivent être considérés comme sérieux".

Concernant la candidature de Dmitri Medvedev, Vladimir Jirinovski a déclaré que le potentiel du premier vice-premier ministre résidait dans le fait qu'il avait derrière lui le président, les ministres et plus de la moitié des gouverneurs.

"Medvedev, c'est une équipe. Sur ce plan, sa tâche est plus facile", a ajouté Vladimir Jirinovski.

Cela dit, le leader du LDPR a supposé que la candidature de Medvedev pourrait ne pas être définitive.

Les leaders et les dignitaires de l'Eglise orthodoxe russe appuient la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev à la présidence russe.

"C'est un des candidats à qui l'Eglise orthodoxe russe serait favorable", a indiqué à RIA Novosti lundi le porte-parole du Patriarcat de Moscou Vladimir Viguilianski.

"Entre l'Eglise et le premier vice-premier ministre Medvedev, de très bons rapports de partenariat se sont établis", a-t-il noté.

Selon lui, l'Eglise voit dans les paroles et les actes du responsable gouvernemental qu'il comprend "la nature des problèmes" qu'elle rencontre et qu'il aspire à "réaliser conjointement les travaux qui correspondent aux missions communes de l'Eglise et de l'Etat".

Pour l'Occident, la candidature de Dmitri Medvedev à l'élection présidentielle russe du 2 mars prochain est un signal indiquant la poursuite d'une politique axée sur l'économie de marché, estime l'éminent politologue allemand et spécialiste de la Russie Alexandr Rar.

"La candidature de M. Medvedev constitue une véritable surprise, étant donné que les analystes européens étaient enclins à considérer que Poutine choisirait un successeur plus dur, appartenant aux "siloviki" (responsables des ministères et des services chargés de la défense et de la protection de l'ordre public)", a indiqué M. Rar.

Cependant, cette nouvelle est perçue favorablement, étant donné le soutien de M. Medvedev à l'économie de marché, à laquelle il croit fermement.

"Pendant la deuxième moitié de la présidence de Poutine, c'est Medvedev qui était en charge du bloc de réformes sociales et économiques et qui a créé un réseau social en Russie. Visiblement, ses réussites ont été appréciées non seulement par Poutine mais aussi par la population russe, auprès de laquelle sa cote de popularité a grimpé dernièrement", a-t-il poursuivi.

M. Rar ne doute pas que Medvedev sache obtenir le soutien de Russie unie et de l'ensemble des partis favorables au renforcement de l'économie de marché et de la démocratie dans le pays.

"Je pense que M. Medvedev sera un président politiquement fort, et les scénarios voulant que M. Poutine conserve les rênes du pouvoir, tant redoutés par les analystes européens, ont peu de chances de voir le jour", a fait remarquer M. Rar.

S'il est possible que les "siloviki" s'effacent provisoirement, il "est peu probable qu'ils se rendent complètement", a conclu le spécialiste.

Vladimir Poutine a "étonné l'Occident" en soutenant la candidature de Dmitri Medvedev à la présidentielle russe, proposée par quatre partis politiques, a confié lundi à l'agence RIA Novosti Roberto Menotti, maître de recherches à l'Institut Aspen Italie.

"C'est une véritable surprise pour l'Occident. Tout le monde s'attendait à ce que M. Poutine propose, pour ainsi dire, une personnalité de second plan. Or, il a soutenu un candidat de premier plan, une personnalité forte, indépendante et capable de prendre des décisions responsables", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

Selon lui, cela confirme le fait que M. Poutine veut être sûr que sa politique sera poursuivie et que la Russie continuera à se renforcer et à se développer dans tous les domaines.

"Dmitri Medvedev est connu en Occident non seulement en tant qu'homme politique, mais également en tant qu'économiste chevronné. Aussi sera-t-il en mesure de renforcer le lien entre la politique et l'économie, ce qui est très important pour le développement ultérieur du pays", a affirmé M. Menotti.

"Vladimir Poutine connaît son successeur depuis longtemps. Ils ont la même vision de l'avenir de la Russie, et c'est pour cela que ce choix est sûr", a souligné l'analyste italien.

M. Medvedev est le plus libéral des hommes politiques du Kremlin, estime l'expert du Centre d'études politiques européennes (CEPS) Michael Emerson.

"C'est un esprit moderne, ouvert et plus libéral que les autres responsables du Kremlin", a-t-il déclaré à RIA Novosti.

Dario Rivolta, un parlementaire italien connu, membre de la Commission des affaires internationales de la Chambre des députés a réagi positivement à la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev au poste de président russe.

"C'est avec satisfaction que j'ai appris la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev. Il a déjà fait ses preuves en tant que dirigeant compétent et doté de bonnes capacités, et en tant qu'homme politique jeune et brillant", a-t-il indiqué lundi dans un entretien à RIA Novosti. Selon lui, il est très important que la candidature de Dmitri Medvedev n'entre pas en contradiction avec la ligne politique de Vladimir Poutine.

"Naturellement, c'est au peuple russe de faire son choix. Mais, étant donné le prestige dont le président Poutine bénéficie auprès de ses concitoyens, on peut affirmer que M. Medvedev dispose d'un certain avantage au départ", a estimé le député. Mais, quel que soit le bilan de la prochaine présidentielle, l'Italie s'attend à ce que les rapports entre l'Italie et la Russie continuent de se développer énergiquement.

Dario Rivolta a exprimé l'espoir de voir la coopération entre Russie unie et le plus important des partis italiens, Forza Italia, au sein duquel il dirige les activités internationales, se développer.

"Nos représentants ont pris part en qualité d'invités aux récents congrès de Russie unie (un des quatre partis russes ayant proposé la candidature de M. Medvedev, ndlr) et nous pouvons faire ressortir une ressemblance naturelle entre les deux partis et les bons rapports entre leurs dirigeants, Silvio Berlusconi et Vladimir Poutine", a souligné le député italien.

Le marché russe a établi un nouveau record historique après l'annonce de la candidature de Dmitri Medvedev à la présidence, présentée par quatre partis et soutenue par Vladimir Poutine.

A 14h 30, heure de Moscou, l'indice RTS avait repris 1,14% par rapport à la clôture vendredi, à 2.311,81 points (2.282,27 points à l'ouverture lundi). L'indice de l'autre place russe, la Bourse MMVB, a augmenté de 1,19%, à 1.936,14 points (1.901,12 points à l'ouverture).

samedi 8 décembre 2007

Resultat du sondage: Poutine plébiscité par les internautes



Aujourd'hui les résultats du sondage effectués sur le site de la SFJP montre bien que les internautes soutiennent la politique de notre président:

sur 27 votants, à la question:"Pensez-vous que Poutine est:

-plus démocrate que Bush, 40,7% ont voté pour,
-plus démocrate que Sarkozy, 40,7% ont voté pour,
-Formidable, 37% ont voté pour,
-Le bon président, 55,5% ont voté pour

L'analyse est donc simple: Poutine est unanimement reconnu comme étant le meilleur président pour la Russie, mais plus encore, est souvent considéré comme étant plus démocrate que deux présidents occidentaux majeurs.

Ce sondage réalisé auprès d'internautes francophones, confirme les votes russes en faveur de Russie Unie et ce malgres les fraudes électorales. Une question se pose alors: Poutine avait-il véritablement besoin de bourrer certaines urnes pour gagner?

vendredi 7 décembre 2007

Video victoire de Poutine

Le double language de l'UE

La SFJP s'associe au premier ministre Zoubkov pour dénoncer le double langage de l'Union européenne.
On a pu constater ces derniers jours toutes la mauvaises fois des occidentaux pris de schizophrénie et de double discour, ceux ci épris d'un amour fou pour leurs anciens ennemis communistes pour dénoncer les dernières élections, et de félicitations pour concerver de bonnes relations
La Russie étant considéré comme un interlocuteur fiable et démocratique lorsqu'il s'agit d'acheter du gaz et du pétrole, mais les occidentaux ne perdent pas une occasion d'essayer de déstabiliser le pouvoir en place.
Ces agissement mené par une stratégie politique de cours terme mettent à mal les relations UE-Russie sur le long terme. La Russie ne dénonce les manques de démocratie au sein de l'UE, pour que les relations reste courtoise, il faut un respect mutuel.

Proche-Orient: Vladimir Poutine et Mahmoud Abbas se félicitent des résultats du forum d'Annapolis


Le président russe Vladimir Poutine et le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas se sont félicités vendredi, lors d'un entretien téléphonique, des résultats du forum d'Annapolis (États-Unis) consacré au règlement du conflit israélo-palestinien, rapporte le service de presse du président russe.

"Les deux hommes ont hautement apprécié l'atmosphère positive des entretiens palestino-israéliens d'Annapolis. Ils ont noté l'importance de la prochaine conférence des pays donateurs programmée à Paris en décembre et de la préparation d'une nouvelle rencontre consacrée au processus de paix proche-oriental au premier semestre de 2008", lit-on dans un communiqué du service de presse.

M.Abbas a félicité M.Poutine à l'occasion de la victoire du parti proprésidentiel Russie unie aux élections législatives russes du 2 décembre dernier qu'il a qualifiés de "transparentes et correctes".

jeudi 6 décembre 2007

Les jeunes Russes fêtent l'élection de Vladimir Poutine


Plus de 5000 jeunes militants des nachis ( jeunesses de RUSSIE UNIE) se sont rassemblés sur la place rouge pour demander au président de continuer sa politique actuelle.
Néanmoins nos amis clowns du Parti communiste n'en finissent pas de tenter de sortir de leur naphtaline en pratiquant l'autodérision. La dernière en date, se croyant encore au beaux jours de l'empire stalinien , dénoncent les fraudes électorales pensant avoir fait le double du score inespéré qu'ils obtiennent (11% des voix)

Vladimir Poutine plus fort que Reagan selon le Times

L'hebdomadaire américain Time, dans son édition de cette semaine, a comparé le succès politique du président russe Vladimir Poutine avec celui de Ronald Reagan, considéré comme "le grand symbole du conservatisme américain contemporain".

Les élections législatives de dimanche dernier ont confirmé sans ambiguïté que Vladimir Poutine restait "un leader extrêmement populaire dans la Russie d'aujourd'hui", note le Time, en dressant des parallèles avec "celui qui a contribué à l'effondrement de l'URSS".

Tout en reconnaissant que la politique et le style de Vladimir Poutine n'avaient rien à avoir avec ceux de Ronald Reagan, l'hebdomadaire souligne que le chef du Kremlin "a redonné aux Russes une bonne attitude à l'égard de leur propre pays", d'où son attrait "reaganesque".

"La popularité de Ronald Reagan, même parmi les démocrates, tient moins à sa politique concrète, traduite par la réduction des impôts et l'accumulation des armements, qu'à la renaissance de la fierté nationale et de l'optimisme des Américains", note le magazine.

"Si l'ère Carter était associée aux difficultés économiques intérieures et à une série d'échecs géopolitiques, qui ont atteint leur apogée avec la crise des otages en Iran, Reagan pour sa part, à peine entré en fonction, avait su convaincre la nation qu'un nouveau jour était arrivé pour l'Amérique, en adoptant une prise de position ferme à l'égard des ennemis de Washington sur la scène internationale ", rappelle le Time.

"Le succès de Vladimir Poutine est de même dû à la rupture avec la présidence de Boris Eltsine caractérisée par une ambiance sombre et pessimiste", note l'hebdomadaire américain en rappelant que "la croissance des prix du pétrole a permis à Vladimir Poutine de renverser la situation économique de la Russie, en encourageant la montée d'un nationalisme économique et politique offensif".


Au vu du battage médiatique américain de ces dernier jours, cet article fait figure d'aveu pour les états unis. Par ce bias ils reconnaissent leurs propres manque démocratique. Au moins en Russie un président ne peut être élu que si il obtient la majorité des suffrages exprimés.

mercredi 5 décembre 2007

La guerre d'Iran n'aura pas lieu

Comme l'affirmait la Russie, les renseignements militaires américains viennent de reconnaitre l'impossibilité de l'existence d'un programme militaire iranien.
Seule l'existence d'un programme nucléaire civil est confirmé...C'est une défaite idéologique majeure pour l'administration Bush et une victoire diplomatique pour le premier ministre Poutine.Les américains viennent enfin de comprendre la tactique iranienne du "taqir", de la dissimulation.
Maintenant l'Iran peut se tourner avec résolution vers l'entrée dans le groupe de Shanghai: la Russie et la Chine seront tres heureux de l'accueillir.

Analyse des élections russes



Les élections législatives ont eu lieu le week end dernier en russie. Il faut noter un certains nombres de points positifs, nous reviendrons ensuite sur la façon dont les médias français ont traité ces résultats.

Le principal point positif est la participation des russes à ce scrutin, en effet avec plus de 60% de participation la légitimité de ce scrutin ne peut être remise en cause. Elle est également révélatrice de la politique menée par Vladimir Poutine. Les régions les plus retirées sont celles qui ont vu le plus de participation (99% en tchetchenie) ce qui montre que la politique de désenclavement est comprise et acceptée de tous les russes. De plus alors même que l'ensemble des médias annonçaient la victoire acquise pour "Russie unie" les russes ont tout de même tenu à apporter leurs soutien a Poutine. Bravant les rudes conditions climatiques, plus de 60% des 106 millions d'électeurs appelés à voter se sont ainsi déplacé, un meilleur résultat qu'au dernières législatives. Autant dire que rien ni personne n'aurait empêché un russe de se déplacer pour soutenir le président ce week end.
Le second point positif est évidement la victoire de "Russie unie" qui totalise 64,1% des voix. C'est une victoire importante pour le Kremlin qui conserver sa main mise sur la politique russe. Notre patrie conservera donc sa stabilité politique et économique (7,5% de croissance en 2006) au grand damne des partisans du chaos soutenu par les occidentaux.
Le troisième point positif est que la victoire électorale protège la Russie d'un retour au pouvoir des oligarques mafieux de Eltsine et autre fossoyeurs de notre Russie millénaire.
De plus on voit qu'il n'y a pas d'alternative crédible à la politique du gouvernement. Ce qui valide la politique mené depuis 8 ans par Vladimir Poutine, comme le rappelle un jeune militant de Russie unie : " il n'y a pas de politique pro kremlin ou anti kremlin, il y a des politiques qui marchent et des politique qui ne marchent pas, c'est pour cela que je milite pour Poutine". En effet ce n'est pas les soit disante fraudes électorales que personnes n'est en mesures de prouver qui explique la victoire de Russie Unie ( 80 observateurs de la CEI présent n'on remarqué aucun incident)mais les réussites économiques et sociales des politiques mené par Vladimir Poutine qui reccueille aujourd'hui plus de 60% d'opinion favorable.

Répartition des voix et des siéges à la Douma

Juste pour rappel, la Russie étant un pays démocratique la répartition des sièges se fait à la proportionnelle des voix entre les partis ayant obtenus plus de 7% aux élections législatives. Ce seuil étant fixé pour obliger les partis à avoir une assise nationale afin de prétendre représenter le peuple russe.



Nous venons de le voir la victoire de Vladimir Poutine est indiscutable. Pour autant l'Occident se borne à une rhétorique tapageuse

Comme il fallait s'y attendre, les partenaires occidentaux de la Russie et les organisations internationales ont émis des critiques à propos des élections à la Douma (chambre basse du parlement russe).

N'ayant pourtant aucune approche commune sur de nombreux problèmes importants de notre époque, les Etats-Unis et l'Europe manifestent toujours une belle unanimité en ce qui concerne le développement démocratique de la Russie. L'Occident a invité à enquêter sur les irrégularités relevées lors de ces élections à la Douma, sans entrer dans les détails. Autrement dit, aucun fait concret n'a été présenté au Kremlin.

En se fondant sur l'avis des observateurs mécontents, on attend déjà dans les capitales occidentales une réaction lors de l'élection présidentielle du mois de mars en Russie, en laissant entendre que ses résultats exerceront une forte influence sur la politique à l'égard de la Russie, non seulement de la part de l'Union européenne, mais aussi de l'ONU et du G8. En sera-t-il vraiment ainsi?

Le déficit de démocratie en Russie et l'imperfection de ses élections sont traditionnellement l'un des thèmes préférés de l'Occident depuis la chute du régime communiste. Il est vrai, l'effet de la pression exercée sur Moscou à ce sujet reste très limité. Aucune sanction internationale n'a jamais été prise contre la Russie, et cette possibilité n'a même pas été sérieusement envisagée. La Russie n'a été exclue d'aucune organisation pro-occidentale et, d'ailleurs, aucune tentative n'a été faite en ce sens. Enfin, personne n'a jamais exigé fermement du président russe qu'il garantisse la liberté des citoyens. Bref, les partenaires occidentaux de Moscou préfèrent se borner à une rhétorique tapageuse.

Fort de sa puissance énergétique croissante, le Kremlin n'a aucune raison de craindre les observateurs mécontents des résultats des élections. Quant au développement démocratique de la Russie, ce problème n'entre pas dans ses compétences. Il reste à demander aux critiques occidentaux quelle est, selon eux, l'alternative à la marche victorieuse du parti Russie unie. Garry Kasparov? Ils répondraient probablement à cette question de la manière suivante: "Il appartient aux électeurs russes d'en décider". Par conséquent, tout revient à sa place. Les électeurs russes votent dans le cadre du système électoral existant, que les partenaires occidentaux du Kremlin ne condamnent qu'en paroles.