dimanche 23 décembre 2007

Medvedev obtient le soutient des internautes

La SFJP remercie le grand nombre d'internautes qui ont participés à ce sondages (69) preuve que ce blog est en plein essor.
Il en ressort un résultat sans contestation possible. Medvedev est ainsi considéré comme le digne successeur de Poutine par 53% des votants tandis que 4% seulemnt pensent que non.
Il est à noter 12% d'ames perdu. Kasparov réalise un score à la russe avec 4% des internautes alors que le parti communiste réalise un bon score pour la France avec 5%.
La SFJP remercie les internautes de leur soutien à son action et à celle du kremlin et souhaite de bonnes fêtes à tous ses visteurs.

vendredi 21 décembre 2007

Interview de Vladimir Poutine sur courrier international



A la suite de la nomination de Vladimir Poutine comme homme de l'année voilà une interview caractéristique de sa politique.

Sur les relations avec les Etats-Unis :
"La Russie a démontré à plusieurs reprises par la politique menée pendant les quinze dernières années qu'elle ne veut pas être simplement partenaire mais aussi amie de l'Amérique. Mais parfois, on a l'impression que l'Amérique n'a pas besoin d'amis, que les Etats-Unis ont besoin de vassaux qu'ils peuvent commander."

Sur Anna Politkovskaïa :
"Vous savez que Politkovskaïa ne jouait aucun rôle dans la vie politique russe. Insinuer qu'elle représentait un danger pour le pouvoir est une absurdité. Je pense que son assassinat est tout simplement une provocation contre le pouvoir. Personne n'a jamais parlé d'elle, une poignée de personnes connaissait ses activités et à présent tout le pays et le monde en parle. C'est une provocation intentionnelle, on a choisi une victime emblématique et on l'a abattue, voilà tout."

Sur Kasparov et les arrestations lors des manifestations de l'opposition :
"Pourquoi, d'après vous, Kasparov, lorsqu'il a été arrêté, s'exprimait-il en anglais et non en russe ? A mon avis, c'est parce qu'il s'adressait à un public occidental. Quelqu'un qui veut être dirigeant de son pays doit penser aux intérêts de son propre peuple et parler dans sa langue natale".
"Regardez les résultats, ils ne font même pas 1 % des suffrages. Sur le plan politique, il n'y a aucune raison de s'en inquiéter. Je les vois comme un instrument aux mains d'Etats étrangers visant à s'immiscer dans les affaires intérieures de la Russie."
"En ce qui concerne les arrestations [lors de manifestations de l'opposition], le fait est que les manifestants ne veulent pas simplement exprimer leur opinion mais aussi être mis aux arrêts, provoquer le pouvoir pour le pousser à agir avec cruauté. Ils veulent manifester là où on le leur interdit. Je vous le dis en toute responsabilité : les autorités continueront de réagir de cette manière."

Sur sa formation d'agent du KGB :
"On nous a toujours appris à être autodidacte, à analyser la réalité des événements en cours, d'en tirer des conclusions et de réagir en conséquence."
"Bien sûr, certaines choses de nos expériences passées peuvent nous servir, d'autres ont disparu. Le plus important est que, à l'université comme au KGB, on nous apprend à réfléchir de façon autonome, à collecter une information objective, l'analyser et à partir de cela prendre des décisions."
"Travailler dans le renseignement, c'est savoir travailler avec des gens et avant tout les respecter."

Sur Gorbatchev, Eltsine et les années 1990 :
"Je ne crois pas que j'aurais été capable de faire comme Eltsine et Gorbatchev qui ont voulu mettre fin au système soviétique que le peuple de Russie ne pouvait plus supporter. Gorbatchev a fait le premier pas, et Eltsine a achevé cette transformation historique, très importante pour la Russie et son peuple. Gorbatchev et surtout Eltsine ont donné à la Russie la liberté."
"Mais les choses ont empiré [après la chute de l'URSS]. Ce fut une désillusion tragique parce qu'au nom de la démocratie, on a commencé à tout permettre ; au nom du marché, on a commencé à voler des millions et à enrichir quelques individus ; on a permis la dilapidation et le vol d'énormes ressources appartenant au peuple tout entier."

Sur la corruption :
"Nous n'arrivons pas à résoudre le problème de la corruption et à contrôler la situation en la matière. C'est plus complexe pour une économie en transition et un système politique en restructuration. Je dois franchement avouer que le système de contrôle par la société civile des activités des institutions d'Etat ne fonctionne pas."

Sur sa foi religieuse :
"Il y a des choses sur lesquelles je ne peux pas m'exprimer publiquement parce que cela paraîtra comme de l'autopromotion ou une sorte de strip-tease politique."
"J'ai une bible dans mon avion et je vole souvent. J'ai donc la possibilité de lire la Bible."

Sur son statut de "leader national" :
"Je pense qu'il ne s'agit pas d'une catégorie administrative, ni même politique. Cela n'est pas déterminé par le nombre de lignes téléphoniques mises à votre disposition dans le cadre de votre fonction. C'est une charge morale fondée sur la confiance du peuple."

mercredi 19 décembre 2007

Poutine est l'homme de l'année selon le Times !




Une fois n'est pas coutume, le Times magazine, grand journal américain s'il en est a fait un choix éditorial courageux: il a consacré Vladimir Poutine comme étant l'homme de l'année 2007 ! et cela, devant Al Gore, prix nobel de la paix, J.K.Rowling et Hu Jintao...
Le journal qui remet chaque année cette distinction au personnage le plus important de l'année a déterminé son choix par:

"And if Russia succeeds as a nation-state in the family of nations, it will owe much of that success to one man, Vladimir Vladimirovich Putin,

Putin has put his country back on the map,

Though he will step down as Russia's President in March, he will continue to lead his country as its Prime Minister and attempt to transform it into a new kind of nation,

He stands, above all, for stability—stability before freedom, stability before choice, stability in a country that has hardly seen it for a hundred years."

Meme si comme le dit le site du Times, cette distinction n'est pas honorifique et reflete plutot les rapports de force en oeuvre dans le monde, il s'avere qu'elle est souvent, et à raison, perçue comme tel.

La SFJP remercie la lucidité et la clairvoyance de ce choix qui conforte nos idées et notre soutien sans faille à Vladimir Poutine. Nous espérons que d'autres journaux, en particulier francophones, suivront le chemin tracé par le Times et reconnaitront ainsi, comme le dit avec justesse ce journal, qu'un "tsar is born".


Informations prises sur: http://www.time.com/time/specials/2007/personoftheyear/article/0,28804,1690753_1690757_1696150,00.html

mardi 18 décembre 2007

POUTINE PREMIER MINISTRE!



Voici la nouvelle que tous les amoureux de la Russie attendait avec impatience. Vladimir Poutine sera donc premier ministre si Medvedev remporte l'élection présidentielle. Une excellente nouvelle pour les russes et la Russie. La SFJP salue cette décision. La réforme et le renouveau de la Russie sont en marche. Avec Poutine comme premier ministre, Medvedev à un guide, une boussole qui fera en sorte que la Russie suive son chemin et que les russes prennent la voie de la prosperité. Vive Poutine président à tous jamais dans nos coeurs et nos esprits

Medvedev investit


Fort du soutien de Russie unie, Medvedev est donc investit pour la course au Kremlin. La politique engagé par Vladimir Poutine va pouvoir se poursuivre, le peuple russe fait entièrement confiance à l'actuel vice premier ministre. La SFJP s'associe aux propos de ce dernier: "les grands Etats comme notre pays n'ont une chance de moderniser la vie qu'une fois tous les cent ans" et aujourd'hui seul le duo Medvedev Poutine est en capacité d'emmener notre patrie vers les lumières célestes. Contrairement à l'Ancien Régime Eltsinien, les réformes engagées se traduirons dans les faits "Et ce, non pas pour un groupe de population mais pour tous les citoyens de notre pays. "
Voilà le président qu'il nous faut, lui qui à su remplacer dignement Vladimir Poutine à Saint Petersbourg saura travailler main dans la main avec lui pour donner à toute la Russie le lustre et le faste de l'ermitage.

vendredi 14 décembre 2007

Quand l'occident prend ses rêves pour des réalités!

La Russie et le monde seront bouleversés par l'assassinat de Vladimir Poutine à la sortie de la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou après la messe de minuit le 7 janvier 2008, prédit Andrew Kuchins du Centre d'études stratégiques internationales (CSIS) dans un rapport cité jeudi dans le journal Kommersant.

Le rapport, portant sur les scénarios alternatifs de développement de la Russie, sera présenté jeudi à Washington par le CSIS. Parmi ses auteurs figurent Thomas Graham, ancien directeur pour la Russie du National Security Council, Henry Hale, professeur de relations internationales à l'Université George Washington, Anders Aslund, expert au Peterson Institute for International Economics et d'autres encore. Mais c'est le pronostic d'Andrew Kuchins qui est le plus scandaleux de tous.

M. Kuchins, note le Kommersant dans un article intitulé "La Russie et le monde seront bouleversés par l'assassinat de Poutine", estime que les assassins du président russe ne seront jamais retrouvés. La Russie sombrera dans le chaos, le marché des valeurs s'effondrera et des grèves et manifestations massives amèneront à la proclamation de l'état d'urgence dans le pays.

Andrew Kuchins suppose que le meurtre de Poutine perturbera les projets de transmission du pouvoir présidentiel à Sergueï Narychkine et du poste de premier ministre à Dmitri Medvedev, entraînant un renforcement des positions des "silovikis" (membres des "structures de force") au Kremlin, et notamment d'Igor Setchine, de Viktor Ivanov et de Nikolaï Patrouchev.

M. Kuchins s'est trompé dans au moins un de ses pronostics, en citant Sergueï Narychkine comme successeur de Vladimir Poutine. Le pronostic ultérieur, note le quotidien, ressemble au sujet d'un polar. Selon l'expert, après l'introduction de l'état d'urgence, c'est Vladimir Iakounine (président de la société Chemins de fer de Russie, RZD) qui deviendra le nouveau président russe et prendra des mesures rigoureuses afin de stabiliser la situation. Il fera fusiller notamment les employés des compagnies pétrolières en grève à Sourgout et condamnera à mort la gouverneure de Saint-Pétersbourg, Valentina Matvienko, et le maire de Moscou, Iouri Loujkov, pour détournement de milliards de dollars.

Après une série de bouleversements politiques et économiques, un "happy end" nous attend, selon Andrew Kuchins: en 2016, avec l'aide de Mikhaïl Khodorkovski libéré de prison, c'est Boris Nemtsov qui occupera le poste de président russe.

Le plus étonnant, fait remarquer le Kommersant, c'est que l'auteur de ce scénario fantastique, ancien président de la Fondation Carnegie de Moscou, est l'un des kremlinologues les plus informés et les plus influents aux Etats-Unis. A la veille du sommet du G8 de Saint-Pétersbourg en 2006, M. Kuchins avait adressé un message personnel à Vladimir Poutine, dans lequel il lui donnait des instructions concernant le respect des principes démocratiques et le persuadait que l'Amérique n'avait en aucun cas besoin d'une Russie faible, rappelle le journal.

jeudi 13 décembre 2007

Malgrès la désinformation, les internautes reconnaissent la vérité


La SFJP avait décidé le soir des élections législatives de lancer une consultation des internautes ceux ci devant répondre à la question suivante: Pensez-vous que la victoire de Vladimir Poutine est due aux fraudes électorales ?

Les résultats sont sans appel:

19% seulement ont voté OUI
66% ont voté Non
Aucune abstention
14% pense que c'est grâce a Garry Kasparov

Les résultats sont à l'image des élections, les internautes à l'unisson du peuple russe plébiscitent massivement Vladimir Poutine (66%) et ce contre la volonté des dirigeants occidentaux. Ceux ci désavoués par leur propre peuple ( 19% seulement pensent que la victoire de Russie unie est due aux fraudes électorale). De plus non content de consacrer Vladimir Poutine, une part non négligeable des internautes (14%) pense que la campagne du poulain occidental (Kasparov) était tellement peu légitime qu'elle a favorisé ce score historique de Russie Unie. Aprés les échecs on joue aux dames...

Pour les dirigeants occidentaux ce sondage n'est pas une simple défaite, c'est la Berezina.


mercredi 12 décembre 2007

Kosovo: La SFJP appelle l'occident à la raison


Ces dernières heures, la question de l'indépendance du kosovo à ressurgie sur le devant de la scène. Les diplomaties occidentales qui ne perdent pas une occasion de défendre leurs intérêts contre le peuple slave, essayaient de passer outre la médiation de la Russie et de la Serbie. Nous mettons en garde les diplomaties occidentales contre le risque permanent de balkanisation dans ces pays, monter les peuples les uns contre les autres ne doit pas être le corrolaire du droit des peuples à disposer d'eux même et c'est courrir le risque de nouveaux affrontements dans la région. La Russie qui a déjà à maintes reprises proposé son aide se montre une nouvelle foi disponible pour aider à trouver une solution négociée avec la Serbie. La SFJP interpelle solennellement l'omni-président Sarkozy afin qu'il adopte une nouvelle ligne de rupture avec la pensée unique occidentale.

lundi 10 décembre 2007

Medvedev cadidat des principaux partis de gouvernement, Votre avis nous interresse, VOTEZ

Après l'investiture de Medvedev, la SFJP lance une grande consultation auprès de ses internautes, exprimez votre avis en participant au sondage. (Sondage démocratique effectué sous contrôle des observateurs de la CEI)

Le choix évident de la continuité


Le président russe Vladimir Poutine a soutenu lundi l'initiative de quatre partis politiques qui ont proposé la candidature du premier vice-premier ministre Dmitri Medvedev au poste de président du pays.

Ces quatre partis sont Russie unie, Russie juste, le Parti agraire et Force citoyenne qui ont remporté au total plus de 75% des voix à l'issue des élections du 2 décembre dernier à la Douma (Chambre basse du parlement russe).

Vladimir Poutine a déclaré à maintes reprises qu'il ne briguerait pas un troisième mandat présidentiel, conformément à la Constitution russe.

Selon les hommes politiques, les politologues et les économistes, l'élection de Dmitri Medvedev permettra de poursuivre la ligne de Vladimir Poutine, de garantir la continuité de la politique du pays à la suite de la relève du pouvoir quand l'actuel président quittera au printemps prochain le poste de chef de l'Etat. Le nom de Dmitri Medvedev, parallèlement à celui de l'autre premier vice-premier ministre Sergueï Ivanov, avait été évoqué dans la presse et par des experts en tant que celui du candidat éventuel à la présidence.

"Nous voudrions vous proposer un candidat soutenu par nous tous. Il s'agit du premier vice-premier ministre Dmitri Medvedev", a déclaré le leader de Russie unie Boris Gryzlov lors d'une rencontre lundi entre le président russe et les leaders de quatre partis politiques.

Concernant la candidature de Dmitri Medvedev, M. Poutine a indiqué: " je le connais très bien, depuis plus de 17 ans, et je soutiens totalement cette candidature".

Russie unie entend proposer officiellement la candidature de Dmitri Medvedev au poste de président du pays à son congrès le 17 décembre prochain.

Guennadi Ziouganov, leader du KPRF (Parti communiste de Russie), l'un des quatre partis entrés à la Douma à l'issue des élections du 2 décembre dernier, a déclaré lundi que la présentation de la candidature de premier vice-premier ministre Dmitri Medvedev au poste de président n'était pas inattendue.

S'agissant de Vladimir Poutine, il a supposé qu'il pourrait rester lui aussi dans la haute politique, par exemple, à la tête de l'Union Russie-Biélorussie.

"Depuis de longues années, Dmitri Medvedev est le bras droit de Vladimir Poutine, son homme de confiance le plus proche", a rappelé Guennadi Ziouganov à RIA Novosti.

Le leader du KPRF, qui avait fait part de son intention de se présenter à l'élection présidentielle un peu plus tôt, a noté que M. Medvedev avait été le premier homme politique que le président avait fait entrer au gouvernement et qu'il avait cité comme successeur au poste de chef de l'Etat.

Guennadi Ziouganov a également supposé que la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev serait "suivie de démarches de Vladimir Poutine lui-même dans le sens de la fusion de la Russie et de la Biélorussie".

Selon le leader des communistes russes, à la fin de l'année prochaine, des amendements appropriés pourraient être apportés à la Constitution, un référendum sur la fusion des deux Etats pourrait être tenu et "Vladimir Poutine pourrait se mettre à la tête de l'Union".

Le Parti libéral-démocrate de Russie (LDPR) ne soutiendra pas le candidat d'un autre parti au poste de président du pays, a déclaré lundi devant les journalistes à Moscou le leader du LDPR Vladimir Jirinovski.

"Nous avons notre candidat et nous l'aurons toujours. Jamais durant ces 20 dernières années, nous n'avons soutenu d'autre candidat", a-t-il dit.

Selon M. Jirinovski, "peu importe au LDPR quel sera son rival aux élections". Il estime que tous les candidats proposés par les partis parlementaires "doivent être considérés comme sérieux".

Concernant la candidature de Dmitri Medvedev, Vladimir Jirinovski a déclaré que le potentiel du premier vice-premier ministre résidait dans le fait qu'il avait derrière lui le président, les ministres et plus de la moitié des gouverneurs.

"Medvedev, c'est une équipe. Sur ce plan, sa tâche est plus facile", a ajouté Vladimir Jirinovski.

Cela dit, le leader du LDPR a supposé que la candidature de Medvedev pourrait ne pas être définitive.

Les leaders et les dignitaires de l'Eglise orthodoxe russe appuient la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev à la présidence russe.

"C'est un des candidats à qui l'Eglise orthodoxe russe serait favorable", a indiqué à RIA Novosti lundi le porte-parole du Patriarcat de Moscou Vladimir Viguilianski.

"Entre l'Eglise et le premier vice-premier ministre Medvedev, de très bons rapports de partenariat se sont établis", a-t-il noté.

Selon lui, l'Eglise voit dans les paroles et les actes du responsable gouvernemental qu'il comprend "la nature des problèmes" qu'elle rencontre et qu'il aspire à "réaliser conjointement les travaux qui correspondent aux missions communes de l'Eglise et de l'Etat".

Pour l'Occident, la candidature de Dmitri Medvedev à l'élection présidentielle russe du 2 mars prochain est un signal indiquant la poursuite d'une politique axée sur l'économie de marché, estime l'éminent politologue allemand et spécialiste de la Russie Alexandr Rar.

"La candidature de M. Medvedev constitue une véritable surprise, étant donné que les analystes européens étaient enclins à considérer que Poutine choisirait un successeur plus dur, appartenant aux "siloviki" (responsables des ministères et des services chargés de la défense et de la protection de l'ordre public)", a indiqué M. Rar.

Cependant, cette nouvelle est perçue favorablement, étant donné le soutien de M. Medvedev à l'économie de marché, à laquelle il croit fermement.

"Pendant la deuxième moitié de la présidence de Poutine, c'est Medvedev qui était en charge du bloc de réformes sociales et économiques et qui a créé un réseau social en Russie. Visiblement, ses réussites ont été appréciées non seulement par Poutine mais aussi par la population russe, auprès de laquelle sa cote de popularité a grimpé dernièrement", a-t-il poursuivi.

M. Rar ne doute pas que Medvedev sache obtenir le soutien de Russie unie et de l'ensemble des partis favorables au renforcement de l'économie de marché et de la démocratie dans le pays.

"Je pense que M. Medvedev sera un président politiquement fort, et les scénarios voulant que M. Poutine conserve les rênes du pouvoir, tant redoutés par les analystes européens, ont peu de chances de voir le jour", a fait remarquer M. Rar.

S'il est possible que les "siloviki" s'effacent provisoirement, il "est peu probable qu'ils se rendent complètement", a conclu le spécialiste.

Vladimir Poutine a "étonné l'Occident" en soutenant la candidature de Dmitri Medvedev à la présidentielle russe, proposée par quatre partis politiques, a confié lundi à l'agence RIA Novosti Roberto Menotti, maître de recherches à l'Institut Aspen Italie.

"C'est une véritable surprise pour l'Occident. Tout le monde s'attendait à ce que M. Poutine propose, pour ainsi dire, une personnalité de second plan. Or, il a soutenu un candidat de premier plan, une personnalité forte, indépendante et capable de prendre des décisions responsables", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

Selon lui, cela confirme le fait que M. Poutine veut être sûr que sa politique sera poursuivie et que la Russie continuera à se renforcer et à se développer dans tous les domaines.

"Dmitri Medvedev est connu en Occident non seulement en tant qu'homme politique, mais également en tant qu'économiste chevronné. Aussi sera-t-il en mesure de renforcer le lien entre la politique et l'économie, ce qui est très important pour le développement ultérieur du pays", a affirmé M. Menotti.

"Vladimir Poutine connaît son successeur depuis longtemps. Ils ont la même vision de l'avenir de la Russie, et c'est pour cela que ce choix est sûr", a souligné l'analyste italien.

M. Medvedev est le plus libéral des hommes politiques du Kremlin, estime l'expert du Centre d'études politiques européennes (CEPS) Michael Emerson.

"C'est un esprit moderne, ouvert et plus libéral que les autres responsables du Kremlin", a-t-il déclaré à RIA Novosti.

Dario Rivolta, un parlementaire italien connu, membre de la Commission des affaires internationales de la Chambre des députés a réagi positivement à la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev au poste de président russe.

"C'est avec satisfaction que j'ai appris la présentation de la candidature de Dmitri Medvedev. Il a déjà fait ses preuves en tant que dirigeant compétent et doté de bonnes capacités, et en tant qu'homme politique jeune et brillant", a-t-il indiqué lundi dans un entretien à RIA Novosti. Selon lui, il est très important que la candidature de Dmitri Medvedev n'entre pas en contradiction avec la ligne politique de Vladimir Poutine.

"Naturellement, c'est au peuple russe de faire son choix. Mais, étant donné le prestige dont le président Poutine bénéficie auprès de ses concitoyens, on peut affirmer que M. Medvedev dispose d'un certain avantage au départ", a estimé le député. Mais, quel que soit le bilan de la prochaine présidentielle, l'Italie s'attend à ce que les rapports entre l'Italie et la Russie continuent de se développer énergiquement.

Dario Rivolta a exprimé l'espoir de voir la coopération entre Russie unie et le plus important des partis italiens, Forza Italia, au sein duquel il dirige les activités internationales, se développer.

"Nos représentants ont pris part en qualité d'invités aux récents congrès de Russie unie (un des quatre partis russes ayant proposé la candidature de M. Medvedev, ndlr) et nous pouvons faire ressortir une ressemblance naturelle entre les deux partis et les bons rapports entre leurs dirigeants, Silvio Berlusconi et Vladimir Poutine", a souligné le député italien.

Le marché russe a établi un nouveau record historique après l'annonce de la candidature de Dmitri Medvedev à la présidence, présentée par quatre partis et soutenue par Vladimir Poutine.

A 14h 30, heure de Moscou, l'indice RTS avait repris 1,14% par rapport à la clôture vendredi, à 2.311,81 points (2.282,27 points à l'ouverture lundi). L'indice de l'autre place russe, la Bourse MMVB, a augmenté de 1,19%, à 1.936,14 points (1.901,12 points à l'ouverture).

samedi 8 décembre 2007

Resultat du sondage: Poutine plébiscité par les internautes



Aujourd'hui les résultats du sondage effectués sur le site de la SFJP montre bien que les internautes soutiennent la politique de notre président:

sur 27 votants, à la question:"Pensez-vous que Poutine est:

-plus démocrate que Bush, 40,7% ont voté pour,
-plus démocrate que Sarkozy, 40,7% ont voté pour,
-Formidable, 37% ont voté pour,
-Le bon président, 55,5% ont voté pour

L'analyse est donc simple: Poutine est unanimement reconnu comme étant le meilleur président pour la Russie, mais plus encore, est souvent considéré comme étant plus démocrate que deux présidents occidentaux majeurs.

Ce sondage réalisé auprès d'internautes francophones, confirme les votes russes en faveur de Russie Unie et ce malgres les fraudes électorales. Une question se pose alors: Poutine avait-il véritablement besoin de bourrer certaines urnes pour gagner?

vendredi 7 décembre 2007

Video victoire de Poutine

Le double language de l'UE

La SFJP s'associe au premier ministre Zoubkov pour dénoncer le double langage de l'Union européenne.
On a pu constater ces derniers jours toutes la mauvaises fois des occidentaux pris de schizophrénie et de double discour, ceux ci épris d'un amour fou pour leurs anciens ennemis communistes pour dénoncer les dernières élections, et de félicitations pour concerver de bonnes relations
La Russie étant considéré comme un interlocuteur fiable et démocratique lorsqu'il s'agit d'acheter du gaz et du pétrole, mais les occidentaux ne perdent pas une occasion d'essayer de déstabiliser le pouvoir en place.
Ces agissement mené par une stratégie politique de cours terme mettent à mal les relations UE-Russie sur le long terme. La Russie ne dénonce les manques de démocratie au sein de l'UE, pour que les relations reste courtoise, il faut un respect mutuel.

Proche-Orient: Vladimir Poutine et Mahmoud Abbas se félicitent des résultats du forum d'Annapolis


Le président russe Vladimir Poutine et le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas se sont félicités vendredi, lors d'un entretien téléphonique, des résultats du forum d'Annapolis (États-Unis) consacré au règlement du conflit israélo-palestinien, rapporte le service de presse du président russe.

"Les deux hommes ont hautement apprécié l'atmosphère positive des entretiens palestino-israéliens d'Annapolis. Ils ont noté l'importance de la prochaine conférence des pays donateurs programmée à Paris en décembre et de la préparation d'une nouvelle rencontre consacrée au processus de paix proche-oriental au premier semestre de 2008", lit-on dans un communiqué du service de presse.

M.Abbas a félicité M.Poutine à l'occasion de la victoire du parti proprésidentiel Russie unie aux élections législatives russes du 2 décembre dernier qu'il a qualifiés de "transparentes et correctes".

jeudi 6 décembre 2007

Les jeunes Russes fêtent l'élection de Vladimir Poutine


Plus de 5000 jeunes militants des nachis ( jeunesses de RUSSIE UNIE) se sont rassemblés sur la place rouge pour demander au président de continuer sa politique actuelle.
Néanmoins nos amis clowns du Parti communiste n'en finissent pas de tenter de sortir de leur naphtaline en pratiquant l'autodérision. La dernière en date, se croyant encore au beaux jours de l'empire stalinien , dénoncent les fraudes électorales pensant avoir fait le double du score inespéré qu'ils obtiennent (11% des voix)

Vladimir Poutine plus fort que Reagan selon le Times

L'hebdomadaire américain Time, dans son édition de cette semaine, a comparé le succès politique du président russe Vladimir Poutine avec celui de Ronald Reagan, considéré comme "le grand symbole du conservatisme américain contemporain".

Les élections législatives de dimanche dernier ont confirmé sans ambiguïté que Vladimir Poutine restait "un leader extrêmement populaire dans la Russie d'aujourd'hui", note le Time, en dressant des parallèles avec "celui qui a contribué à l'effondrement de l'URSS".

Tout en reconnaissant que la politique et le style de Vladimir Poutine n'avaient rien à avoir avec ceux de Ronald Reagan, l'hebdomadaire souligne que le chef du Kremlin "a redonné aux Russes une bonne attitude à l'égard de leur propre pays", d'où son attrait "reaganesque".

"La popularité de Ronald Reagan, même parmi les démocrates, tient moins à sa politique concrète, traduite par la réduction des impôts et l'accumulation des armements, qu'à la renaissance de la fierté nationale et de l'optimisme des Américains", note le magazine.

"Si l'ère Carter était associée aux difficultés économiques intérieures et à une série d'échecs géopolitiques, qui ont atteint leur apogée avec la crise des otages en Iran, Reagan pour sa part, à peine entré en fonction, avait su convaincre la nation qu'un nouveau jour était arrivé pour l'Amérique, en adoptant une prise de position ferme à l'égard des ennemis de Washington sur la scène internationale ", rappelle le Time.

"Le succès de Vladimir Poutine est de même dû à la rupture avec la présidence de Boris Eltsine caractérisée par une ambiance sombre et pessimiste", note l'hebdomadaire américain en rappelant que "la croissance des prix du pétrole a permis à Vladimir Poutine de renverser la situation économique de la Russie, en encourageant la montée d'un nationalisme économique et politique offensif".


Au vu du battage médiatique américain de ces dernier jours, cet article fait figure d'aveu pour les états unis. Par ce bias ils reconnaissent leurs propres manque démocratique. Au moins en Russie un président ne peut être élu que si il obtient la majorité des suffrages exprimés.

mercredi 5 décembre 2007

La guerre d'Iran n'aura pas lieu

Comme l'affirmait la Russie, les renseignements militaires américains viennent de reconnaitre l'impossibilité de l'existence d'un programme militaire iranien.
Seule l'existence d'un programme nucléaire civil est confirmé...C'est une défaite idéologique majeure pour l'administration Bush et une victoire diplomatique pour le premier ministre Poutine.Les américains viennent enfin de comprendre la tactique iranienne du "taqir", de la dissimulation.
Maintenant l'Iran peut se tourner avec résolution vers l'entrée dans le groupe de Shanghai: la Russie et la Chine seront tres heureux de l'accueillir.

Analyse des élections russes



Les élections législatives ont eu lieu le week end dernier en russie. Il faut noter un certains nombres de points positifs, nous reviendrons ensuite sur la façon dont les médias français ont traité ces résultats.

Le principal point positif est la participation des russes à ce scrutin, en effet avec plus de 60% de participation la légitimité de ce scrutin ne peut être remise en cause. Elle est également révélatrice de la politique menée par Vladimir Poutine. Les régions les plus retirées sont celles qui ont vu le plus de participation (99% en tchetchenie) ce qui montre que la politique de désenclavement est comprise et acceptée de tous les russes. De plus alors même que l'ensemble des médias annonçaient la victoire acquise pour "Russie unie" les russes ont tout de même tenu à apporter leurs soutien a Poutine. Bravant les rudes conditions climatiques, plus de 60% des 106 millions d'électeurs appelés à voter se sont ainsi déplacé, un meilleur résultat qu'au dernières législatives. Autant dire que rien ni personne n'aurait empêché un russe de se déplacer pour soutenir le président ce week end.
Le second point positif est évidement la victoire de "Russie unie" qui totalise 64,1% des voix. C'est une victoire importante pour le Kremlin qui conserver sa main mise sur la politique russe. Notre patrie conservera donc sa stabilité politique et économique (7,5% de croissance en 2006) au grand damne des partisans du chaos soutenu par les occidentaux.
Le troisième point positif est que la victoire électorale protège la Russie d'un retour au pouvoir des oligarques mafieux de Eltsine et autre fossoyeurs de notre Russie millénaire.
De plus on voit qu'il n'y a pas d'alternative crédible à la politique du gouvernement. Ce qui valide la politique mené depuis 8 ans par Vladimir Poutine, comme le rappelle un jeune militant de Russie unie : " il n'y a pas de politique pro kremlin ou anti kremlin, il y a des politiques qui marchent et des politique qui ne marchent pas, c'est pour cela que je milite pour Poutine". En effet ce n'est pas les soit disante fraudes électorales que personnes n'est en mesures de prouver qui explique la victoire de Russie Unie ( 80 observateurs de la CEI présent n'on remarqué aucun incident)mais les réussites économiques et sociales des politiques mené par Vladimir Poutine qui reccueille aujourd'hui plus de 60% d'opinion favorable.

Répartition des voix et des siéges à la Douma

Juste pour rappel, la Russie étant un pays démocratique la répartition des sièges se fait à la proportionnelle des voix entre les partis ayant obtenus plus de 7% aux élections législatives. Ce seuil étant fixé pour obliger les partis à avoir une assise nationale afin de prétendre représenter le peuple russe.



Nous venons de le voir la victoire de Vladimir Poutine est indiscutable. Pour autant l'Occident se borne à une rhétorique tapageuse

Comme il fallait s'y attendre, les partenaires occidentaux de la Russie et les organisations internationales ont émis des critiques à propos des élections à la Douma (chambre basse du parlement russe).

N'ayant pourtant aucune approche commune sur de nombreux problèmes importants de notre époque, les Etats-Unis et l'Europe manifestent toujours une belle unanimité en ce qui concerne le développement démocratique de la Russie. L'Occident a invité à enquêter sur les irrégularités relevées lors de ces élections à la Douma, sans entrer dans les détails. Autrement dit, aucun fait concret n'a été présenté au Kremlin.

En se fondant sur l'avis des observateurs mécontents, on attend déjà dans les capitales occidentales une réaction lors de l'élection présidentielle du mois de mars en Russie, en laissant entendre que ses résultats exerceront une forte influence sur la politique à l'égard de la Russie, non seulement de la part de l'Union européenne, mais aussi de l'ONU et du G8. En sera-t-il vraiment ainsi?

Le déficit de démocratie en Russie et l'imperfection de ses élections sont traditionnellement l'un des thèmes préférés de l'Occident depuis la chute du régime communiste. Il est vrai, l'effet de la pression exercée sur Moscou à ce sujet reste très limité. Aucune sanction internationale n'a jamais été prise contre la Russie, et cette possibilité n'a même pas été sérieusement envisagée. La Russie n'a été exclue d'aucune organisation pro-occidentale et, d'ailleurs, aucune tentative n'a été faite en ce sens. Enfin, personne n'a jamais exigé fermement du président russe qu'il garantisse la liberté des citoyens. Bref, les partenaires occidentaux de Moscou préfèrent se borner à une rhétorique tapageuse.

Fort de sa puissance énergétique croissante, le Kremlin n'a aucune raison de craindre les observateurs mécontents des résultats des élections. Quant au développement démocratique de la Russie, ce problème n'entre pas dans ses compétences. Il reste à demander aux critiques occidentaux quelle est, selon eux, l'alternative à la marche victorieuse du parti Russie unie. Garry Kasparov? Ils répondraient probablement à cette question de la manière suivante: "Il appartient aux électeurs russes d'en décider". Par conséquent, tout revient à sa place. Les électeurs russes votent dans le cadre du système électoral existant, que les partenaires occidentaux du Kremlin ne condamnent qu'en paroles.

mardi 4 décembre 2007

Victoire de poutine aux élections

Faites comme Sarkozy admettez la réalité.


Le président français Nicolas Sarkozy a «chaleureusement félicité» son homologue russe Vladimir Poutine pour la victoire de son parti dimanche aux législatives russes, a annoncé lundi le Kremlin dans un communiqué.

Les deux présidents ont «eu un échange de vues sur les questions d'actualité relatives aux relations franco-russes au cours d'une conversation (téléphonique) durant laquelle le président français Nicolas Sarkozy a chaleureusement félicité Vladimir Poutine pour sa victoire aux élections», selon le Kremlin. Une déclaration confirmée quelques heures plus tard par l'entourage de Nicolas Sarkozy.

Nous saluons le courage de Nicolas Sarkozy qui ose braver la pensée unique et reconnaître à sa juste valeur la large victoire de Russie Unie et de Vladimir Poutine aux élections législatives. En effet contre toute attente les russes se sont déplacés en masse pour voter (66% de participation, 92% en Tchétchénie) et pour soutenir Notre Président (plus de 60 % des voix). L'opposition sera une nouvelle fois animées par les clowns momifiés du Parti communistes qui ne sont capables que de sortir des blagues entre deux goulées de formole. Ces élections ont de plus le mérite de montrer la déconnexion entre les médias français et la réalité russe, le parti Iabloko, présenté comme l'alternative soit disant démocratique recueil le fantastique et inespéré soutien d'au moins 1% des électeurs. Autant dire que les jours de notre président s'annonce radieux.

Bientôt sur ce blog une analyse complète de la phase électorale

lundi 3 décembre 2007

Une blague en passant

Le parti communiste russe déclare qu'il porte réclamation pour fraudes électorale. Il déclare également qu'il n'a jamais vu ça. C'est la mauvaise foi réincarné. Certains oublient la période 1917-1990; Soit c'est l'amour du pays qui rend aveugle soit c'est de l'amnésie. Ou alors it's just a joke.

dimanche 2 décembre 2007

Avant même la fin des élections les médias français affichent leurs mauvaise foi!

Alors qu'après dépouillement de 13% des bulletins la liste russie unie emporterait plus de 60% des suffrages exprimés nous assistons à un retour de la mauvaise foi dans les médias français. En effet ceux ci déplorent déjà les manque de démocratie, inventant des témoignages pour fraude.
Les médias français préférant s'appuyer sur l'ong golos qui ne représente rien ni personne et dont la parole ne contient pas plus de vérité que Kim jong ill parlant de démocratie. Les médias semblent même embarrassé de voir que OSCE représentant l'Union Européene ou que les opposant du parti libéral n'ont repère aucune violation.

Quelques citations:

LA VAGUE DE VIOLATIONS DÉPASSE TOUTES LES NORMES: Le Monde

P
ourtant les deux principales missions occidentales présentes, celles des Assemblées parlementaire de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) et du Conseil de l'Europe, n'ont constaté de leur côté aucune violation dimanche matin. "Cela semble bien organisé, d'un point de vue technique... Nous n'avons pas constaté de violations", a déclaré un porte-parole de la délégation de l'Assemblée parlementaire de l'OSCE, Klaus Bergman. "Nous n'avons constaté aucun problème de procédure", a renchéri Anne-Marie Lizin, de cette même mission d'observation


Toujours Le Monde et dans le même article s'il vous plaît

Comment croire ce qu'on lit lorsque les informations sont à ce point partiale. Lorsqu'on lit entre les lignes on peut voir la difficulté qu'endurent ces médias pour arriver à leurs fin. Ainsi pour faire croire que les élections ont été antidémocratique, ils donnent la parole a des zbuibs qui ne représente rien passant quasi sous silence les organisations sérieuses. Non messieurs ces élections n'ont pas été truquées, elles sont l'émanation du peuple russe qui choisit démocratiquement son assemblée comme cela se passe dans toute démocratie qui se respecte.

Réponse à l'article de rue 89 sur les élections russes

Cet article publié sur rue 89 doit être analysé sur deux axes. D'abord quelques éléments positifs: Effectivement l'opposition est désorganisé, peu crédible et fondamentalement minoritaire dans l'opinion. Cet article à au moins l'intérêt de dire que Poutine à effectivement le soutien de l'opinion. Néanmoins on retombe vite dans la vision franco-française de la Russie en donnant des gages de légitimité démocratique à l'opposition en les présentant comme les représentants de la pensée unique européenne. Nous ne pensons pas que le peuple russe soit composé de moutons. Poutine a effectivement le soutien de la population pour différentes raison: réussite de sa politique économique, hausse du pouvoir d'achat, amélioration des conditions de vie, politique internationale qui redonne à la Russie sa véritable place. Si les gens votent pour Poutine ce n'est pas par manque de démocratie mais c'est par volonté. Les opposants ne sont pas des alternatives, ils ne sont pas plus démocrate, mais ils passent mieux dans les médias occidentaux, c'est cela qui fait qu'en France nous avons l'image d'un pays où règne l'arbitraire. Cette image est fondamentalement fausse et fait insulte au peuple russe.
Les russes ne sont pas des moutons il votent pour la personne et le parti le plus a même de répondre a leur préoccupations

L'article en question:

Russie: pour qui voter quand on n'aime pas Poutine?

Voter pour "un petit parti qu'on ne méprise pas", ou "voter avec ses pieds"... Tel semble être le choix offert aux (quelques) électeurs russes qui n'ont pas envie de participer à des élections législatives transformées en plébiscite par Vladimir Poutine.

Un échange entre internautes sur un blog russe (traduit par Global Voices Online) résume le dilemme des électeurs russes à la veille du scrutin de ce dimanche. L'un d'eux, Tvoron, évoque une affichette manuscrite vue sur un arrêt de bus, appelant à inscrire une insulte "en trois lettres" sur le bulletin de vote, histoire de montrer son rejet de tous les partis en présence.

Odalizka lui répond: "Je suis d'accord avec cette proposition. C'est ce que je ferai, si je me décide d'aller voter"...

Jarud_BraOn objecte: "Vous rendez vous compte que plus il y a de bulletins nuls, plus il y aura de sièges au parti Russie Unie" (de Poutine, ndlr).

Odalizka réplique: "Même si c'était le cas, que proposez-vous? D'aller voter pour Iabloko (le parti de Gregory Yavlinsky)? Pour être honnête, je n'irai pas voter du tout, je laisserai cette farce, dont les résultats sont connus d'avance, se dérouler sans moi. La Russie Unie aura ce qu'elle veut de toutes les façons."

Jarud_BraOn: "(...)Je propose de voter pour tout parti qui a la possibilité de passer la barre (des 7% nécessaires pour avoir des élus, ndlr). Et si possible ceux qui arriveront deuxième ou troisième. Ils sont tous mauvais, mais le seul moyen de protester est de voter pour eux.

Je suppose que je voterai pour les légumes (le parti communiste, ndlr), même si, il y a quelques années, je m'en serai voulu à mort"...

Odalizka: "Merci jeune homme, mais je ne lisais pas (les copies en samizdat, clandestines, ndlr) Alexandre Soljenitsyne ou Joseph Brodsky pendant la nuit quand j'étais jeune pour voter pour les communistes maintenant que j'ai 37 ans. Hors de question."

Cet échange est représentatif d'une frange marginale de l'électorat qui ne cède pas aux sirènes autoritaires de Vladimir Poutine: ce dernier appelle les électeurs à lui donner un "chèque en blanc", comme l'explique bien la correspondante de Libération à Moscou, Lorraine Millot. Poutine sera contraint de laisser la place de Président de la République en mars prochain, après les prochaines élections, mais a organisé sa succession de telle manière à conserver, quoi qu'il arrive, le vrai pouvoir. "Il part pour mieux rester", dit l'homme de la rue à Moscou, cité par Marie Jego dans Le Monde.

Ce scénario se déroule avec l'accord et le soutien, actif ou passif, d'une majorité de la population nourrie de société de consommation pour partie, de nationalisme exacerbé pour l'autre. Le tout doublé de l'accusation de "trahison" lancée ces derniers jours contre les opposants démocrates qui, comme l'ancien champion d'échec Gary Kasparov, osent s'opposer au maître du Kremlin. Pour ces derniers, les élections de dimanche ne sont qu'une étape, un mauvais moment à passer...

Il faut montrer aux ennemis du peuple que Poutine est légitime


«Notre but est le démantèlement de ce régime qui couvre le pays de honte et le déteste (...) Nous allons sortir de ce marécage de corruption et de mensonge et nous gagnerons !"

Voilà ce que Garry Kasparov a déclaré lorsqu'il est sorti de prison. Ces paroles montrent bien le but poursuivit par celui qui nous est présenté ici comme le héros qui doit sauver la Russie de l'arbitraire. Son réel but est bel et bien d'enfoncer la Russie dans le chaos le plus complet. Nous ne voulons pas d'une "Autre Russie", Nous voulons une Russie prospère avec 7,5% de croissance, nous voulons d'une russie où de jours en jours nos conditions de vie s'améliore, Nous voulons d'une Russie respecté dans le monde. Nous ne voulons pas d'un président incompétent dont le seul don est d'avoir vaincu un ordinateur aux échecs. Nous voulons un président fort, sportif, honnête qui saura rendre sa fierté au Peuple Russe.

Le jour J: Faites leur échec


Depuis quelques heures les millions de russes sont appelés aux urnes pour les élections législatives.
La SFJP appelle tous les citoyens russes a se rendre en masse pour soutenir la listes de "Russie Unie" face aux ennemis du peuple mené par un champion d'échec soutenus par les impérialistes occidentaux (Quelle légitimité?). La participation et le vote Poutine doivent être fort pour mettre a mal les critiques de l'opinion occidental et donner la légitimité a notre président pour améliorer la vie quotidienne et faire rayonner notre fière nation russe à travers le monde

samedi 1 décembre 2007

Poutine en image

La propagande le diabolise parce qu'il ne baisse pas la tête, son peuple le plébiscite car il lui a rendu sa fierté et son pouvoir d'achat.
C'est un Homme d'Etat comme ça qu'il nous faut.


Tous derrière Poutine: Rejoignez la SFJP


Amis francophone du Président, vous souhaitez soutenir Vladimir Poutine comme chef suprême de la Russie. Vous savez qu'il est LA solution pour notre mére patrie. N'hésitez plus et devenez membres de la SFJP. Vous recevrez une photo dédicacée de notre président bien aimé.
Pour adherez envoyer vos coordonnées complète à l'adresse suivante.

Contactez nous : adhesion.sfjp@laposte.net

Deuxième bonne raison de voter Poutine

Grande campagne d'opinion: VOTEZ

La SFJP lance un grand sondage publique concernant la politique russe et les futures échéances électorales. Nous vous invitons vivement a exprimer démocratiquement votre avis, quel qu'il soit. Nous transmettrons les résultats de ce sondage à Vladimir Poutine, qui soyons en sur, en tiendra compte.
Merci de votre participation.

Le clip de campagne de notre président

Une bonne raison de soutenir Poutine: Il est plus fort que Sarkozy

Seul un grand chef peut gouverner notre mére patrie!

La Russie a connu jusqu’en 1917 un régime de monarchie absolue : le tsarisme. La dynastie ayant marqué le plus profondément le pays est celle des Romanov ayant régné de 1613 à 1917. La chute du dernier Tsar (Nicolas II) se fit par l’entrée triomphale de Lénine au pouvoir. Par la suite divers hommes « autoritaires », dont Staline, se succèdent jusqu’à Gorbatchev et Eltsine qui instaurent des principes libéraux et des institutions démocratiques. Néanmoins un retour en force des traditions dominatrices a lieu en 2000 avec l’arrivée de Poutine au pouvoir. On constate ainsi que la Russie n’a connu que le pouvoir absolu sur le peuple. Des siècles de domination qui ont fini par modeler le pays en profondeur en créant une habitude et par conséquent un besoin d’un homme qui prenne en charge les décisions et la conduite de l’Etat.
Alors, n’a-t-on pas créer un mythe de l’homme fort en Russie afin d’exercer un contrôle absolu sur la population, soumise ?
Le dirigeant de l’Etat ne peut être que fort pour assumer la politique du plus grand pays du monde et gérer tous les conflits internes et externes afin d’être présent sur la scène internationale face, entre autres à des pays comme les Etats-Unis. Cet homme doit pouvoir véhiculer la force et la grandeur de son pays. Vladimir Poutine rassemble toutes ces qualités. Il est aujourd'hui le seul garant de l'unité de la Russie. Il se présente en digne successeur démocratique des tsar et de Staline. Il est aujourd'hui le seul en mesure de garantir la grandeur de notre grande patrie.

Pourquoi ce blog?

Le pouvoir russe est présenté en France comme une nouvelle dictature communiste. Excédé par ce traitement de l'information, nous avons décidé de proposer a l'opinion publique français la vérité. Non la Russie n'est pas une dictature, non Gasparov n'est pas le démocrate sauveur de la Russie, Non notre président n'est pas un dangereux tyran. Son charisme, sa répartie font qu'il est aujourd'hui l'homme qu'il faut pour la Russie. Pour défendre la vérité, nous avons décidé de nous organiser dans une nouvelle organisation: La Section Française des Jeunesses Poutinienne (SFJP).
La Russie sera poutinienne ou ne sera pas.