vendredi 29 février 2008

Contre l'indépendance du Kosovo, Adherez à la SFJP

Dans ce contexte international où les puissances occidentales manipulent les peuples et les font se monter les uns contre les autres pour leur seul profit, il faut que les francophone désireux de défendre la vérité et les droits de l'Homme s'associent à la SFJP afin de défendre et rétablir la vérité en France et en Europe.

Pour cela, Adhérez !

Envoyez vos coordonnées à: adhesion.sfjp@laposte.net

jeudi 28 février 2008

Kosovo: Courage fuyons!


Par Alexeï Pankine, pour RIA Novosti


"Qu'y a-t-il de si particulier dans la situation au Kosovo par rapport à d'autres conflits similaires? Pourquoi l'indépendance du Kosovo a-t-elle été reconnue à la hâte par les Etats-Unis et la plupart des Etats de l'UE?", ai-je demandé par écrit à Georgi Derlugian, professeur russe à la Northwestern University de Chicago, et l'un des principaux spécialistes mondiaux du Caucase. Pour toute réponse, il m'a envoyé un hyperlien vers un documentaire intitulé "The Albanian Brooklyn Connection", réalisé par des Hollandais, sorti en février 2005 et diffusé aux Etats-Unis par la chaîne de télévision publique PBS.

Le personnage central du film, qui se nomme Florin Krasniqi, est un Américain d'origine kosovare. Il se livre à des activités de lobbying aux Etats-Unis en faveur de l'indépendance du Kosovo. "Je suis heureux de vous annoncer que nous avons déjà recueilli aujourd'hui 510.000 dollars", voit-on s'exclamer Richard Holbrook, ancien sous-secrétaire d'Etat américain chargé de la Yougoslavie sous Bill Clinton, au cours d'un déjeuner de charité organisé par Krasniqi en 2004 en faveur du candidat démocrate à la présidentielle. Avant cette intervention, on le voit en compagnie de l'ancien commandant en chef des forces de l'OTAN Wesley Clark en train de parler amicalement avec des anciens combattants de l'Armée de libération du Kosovo. C'est ce même Holbrook, actuel conseiller de Hillary Clinton, qui vient d'accuser la Russie d'avoir provoqué les troubles actuels en Serbie.

Parallèlement à la collecte d'argent, Krasniqi achète légalement aux Etats-Unis des armes ("pour chasser les éléphants en Tanzanie", explique-t-il au vendeur en faisant l'acquisition d'un fusil gros calibre), pour les envoyer par la suite illégalement et par cargaisons de plusieurs tonnes au Kosovo, placé, rappelons-le, sous la tutelle des Nations unies et de l'OTAN. "Celui-ci pourrait même abattre un hélicoptère", dit-il en montrant à des membres de sa famille, au Kosovo, le fameux fusil destiné à la "chasse aux éléphants".

Voici encore quelques extraits et citations du film, qui ne contient guère de commentaires, juste les monologues du Kosovar américain et ses réponses aux brèves questions posées par le réalisateur.

"L'argent fait des miracles dans ce pays [Etats-Unis]. Les sénateurs et congressmen ont besoin de dons, et si vous les financez, si vous collectez de l'argent pour leur compte, ils s'empresseront de vous renvoyer l'ascenseur".

A la question de savoir si la proclamation de l'indépendance du Kosovo provoquerait une guerre, il répond: "J'espère que non. Mais si la guerre est inévitable, nous y sommes prêts. Cela aura sans doute lieu d'ici un an et demi (rappelons que le documentaire a été tourné en 2004 - A.P.). Si cela n'arrive pas ce printemps, ce sera au printemps prochain. Si le Kosovo n'obtient pas l'indépendance, il y aura une guerre".

"Les Nations unies ne savent pas de quoi nous sommes capables. Si nous avons réussi à attirer l'OTAN ici, pour qu'elle nous aide à nous libérer, je pense que nous sommes à même de faire en sorte que les Nations unies disparaissent de ce territoire".

Et voici un dialogue entre Krasniqi et la présentatrice (et réalisatrice) du film:

"- J'ai parlé avec un représentant de l'OTAN à Pristina, et il m'a dit qu'ils parvenaient efficacement à désarmer les Albanais.

- Ha! ha! Tout ça c'est de la propagande otanienne... Ni l'OTAN, ni personne d'autre ne réussira jamais à désarmer les Albanais. Nous avons connu une histoire si épouvantable que nous n'avons plus confiance en personne. Les Albanais du Kosovo sont très bien armés, et même si l'OTAN se retire d'ici, ou si nous n'accédons pas à l'indépendance par des moyens pacifiques, nous utiliserons nos armes afin de parvenir à nos fins".

Voici en quoi consiste la particularité du Kosovo: les soldats de la paix, qu'ils appartiennent à l'OTAN ou bien à l'ONU, ne représentent pas un moyen de faire respecter la loi et l'ordre, ils ne sont même pas un instrument du jeu géopolitique des Etats qui les y ont envoyés, mais plutôt un jouet entre les mains des séparatistes. Soit ils constituent un moyen pour ces derniers de parvenir à leurs fins, soit ils choisissent d'y faire obstacle. Dans ce dernier cas, les séparatistes retourneront les armes contre leurs "défenseurs".

Peut-être le secret de l'indépendance du Kosovo réside-t-il dans le fait que les Etats-Unis et les Européens se sont rendu compte de cette réalité, et ont eu subitement la frousse? En d'autres termes, dans le jeu international "policiers contre brigands", peut-être que ce sont les brigands qui l'ont finalement emporté sur les policiers? A propos, cela force le respect, sous tous les aspects, hormis l'aspect juridique.

Il y a quelque chose d'étrange dans la manière qu'ont les démocraties développées d'organiser des opérations policières internationales. En sauvant la population albanaise du Kosovo en 1999, l'OTAN n'a pas lutté contre les combattants, ce qui aurait nécessité de déployer une opération terrestre et entraîné des pertes humaines, mais a détruit l'infrastructure civile de la Serbie ("Pas un seul Serbe innocent ne sera victime des armes que nous achetons. Les Serbes innocents ont été tués dans les bombardements [otaniens]", prononce avec mépris Florin Krasniqi).

Les pays voisins en ont également pâti: les ports ukrainiens dans le delta du Danube ont été accablés par le chômage pendant plusieurs années, car la destruction des ponts de Belgrade avait paralysé la navigation sur l'une des artères de transport les plus empruntées de l'Europe.

Aujourd'hui, en 2008, se sentant devenir des cibles, les "policiers" ont trahi le droit international qu'ils étaient apparemment censés défendre. Ils ont cédé au chantage sans penser aux conséquences. Lesquelles? "Au-delà de cette colline, c'est le Kosovo, et de ce côté-ci, c'est l'Albanie. Pour moi, l'Albanie c'est tout cela", explique Krasniqi.

Ils s'enfuiront également de l'Irak, qu'ils ont eux-mêmes transformé en un foyer de terrorisme international, pour se cacher bien au chaud dans leur lointain pays d'outre-Atlantique, en laissant la gestion des conséquences à ceux qui se trouvent à proximité et qui ont toujours affirmé qu'il ne fallait pas y mettre le nez.

Est-ce cette OTAN que souhaitent si passionnément intégrer l'Ukraine et la Géorgie? Sur quoi comptent-elles, hormis le fait que leurs conscrits apprennent à parler anglais?

Les opinions exprimées dans cet article sont laissées à la stricte responsabilité de l'auteur.

"On a ligoté la Serbie en vue de l'amputation"

La SFJP invite l'ensemble des internautes à se faire un avis par eux même sur l'indépendance du Kosovo et Metochie en visionnant l'interressant débat de l'émission "ce soir (ou jamais)"


http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/videos.php?id_rubrique=207&type=emission&video=20080227_csoj.wmv

Pour une fois, une émission du service public français ose sortir de la vision ethnocentriste occidentale en permettant aux diverses opinions de s'exprimer librement.

En invitant des indépendantistes basques et flamands, les producteurs montrent bien que l'indépendance du Kosovo et Méthochie ouvre la porte à une balkanisation de l'Europe.

La SFJP salue cette initiative courageuse de la direction de france 3 qui sort de l'idéologie dominante, et qui en offrant aux différents acteurs la possibilité d'exprimer leurs opinions et leurs arguments permet a chacun de comprendre les intérêts géostratégiques de l'indépendance du Kosovo et Méthochie.





Voici la nouvelle base américaine au Kosovo. (Intérêt géostratégique?)

samedi 23 février 2008

La réalité des serbes du Kosovo

La réalité Serbe au Kosovo, ou ce que les médias français ne montrent jamais





Le dessous des cartes est parfois différent de la réalité décrite par certains...

La SFJP appelle les français à se soulever contre l'indépendance du Kosovo


La SFJP se joint à l'appel de la communauté serbe de France et appelle les français à manifester massivement leur soutien pour le Kosovo et Métochie

Dimanche 2 Mars à 12h44, (l'horaire est lié à la résolution 1244 de l'ONU)
place de la République, à Paris XI°


Site de l'Association sportive et culturelle serbe:
http://www.orlovi.com


Voici le:
Flyers
http://www.orlovi.com/img/Manif_2Mars_Fly.jpg

Affiches
http://www.orlovi.com/img/Manif_2Mars_Affiche.jpg


Défendre le droit des peuples à disposer d'eux mêmes, ce n'est pas les opposer entre eux!

Kosovo: Tribune de Chevenement dans le Figaro

La reconnaissance du Kosovo, c'est une triple faute

Jean-Pierre Chevènement.
Jean-Pierre Chevènement. Crédits photo : Le Figaro

Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre, se demande «si la France est assez futile pour se flatter d'avoir un nouvel ambassadeur dans sa capitale avant même que le Parlement ait été saisi».

M. Thaçi a déclaré l'indépendance du Kosovo et derechef nos médias s'illuminent devant la profusion des drapeaux agités à Pristina. On peine un peu à nous expliquer la signification du nouveau drapeau kosovar, vu la difficulté à justifier que les étoiles censées représenter les «minorités ethniques» sont précisément rejetées à l'extérieur du dessin du pays.

Reconnaître «l'État du Kosovo», c'est une triple faute.

Une faute contre l'histoire. Celle-ci, contrairement à ce qui s'est passé pour les pays Baltes, n'a jamais connu de Kosovo indépendant. Longtemps soumis au pouvoir turc (comme le fut aussi la Serbie), le Kosovo était, depuis plusieurs décennies, partie intégrante d'un État né par accord international : la Yougoslavie. Au sein de cet État fédéral il faisait partie de la Serbie qui, comme il a été mille fois rappelé, plaçait dans le Kosovo l'origine même de son identité. Que la démographie ait changé, assurément. Belgrade elle-même favorisa cette évolution en accueillant généreusement dans sa province du Kosovo les Albanais qui fuyaient la dictature d'Enver Hodja. Il y avait là matière à imaginer un régime d'autonomie. Cela fut fait. On sait que Milosevic supprima ce régime. Certains, qui auront la curiosité de lire les chroniques, découvriront que l'une des raisons de cette décision fut la plainte des Serbes qui étaient fort mal traités dans un Kosovo «autonome». Milosevic abolit l'autonomie. Il fit mal. Mais la réponse n'est certes pas d'aller à l'excès inverse, créer un État là où il n'y en eut jamais un. Ou alors allons jusqu'au bout. Bafouons l'histoire : reconnaissons la République turque de Chypre ; intéressons-nous au Cachemire ; découpons un peu en Espagne, au Mali, au Tchad, etc., et en France, pourquoi pas ?

Les Français ne veulent plus rien savoir de l'histoire. Mais ce qui est tout récent devrait quand même rester en mémoire et faire réfléchir. La Serbie, objet aujourd'hui de tant de critiques, n'a pas fait la moindre difficulté pour reconnaître l'indépendance du Monténégro, preuve qu'il ne s'agit pas de la part de Belgrade d'attitude obtuse maniaque.

Une faute contre le droit. Il y eut guerre, déclenchée en 1999 par l'Otan en ignorant les principes du droit international, pour mater les Serbes coupables d'avoir réprimé durement trop durement un mouvement d'indépendance qu'ils qualifiaient de terroriste.

Mais la guerre aérienne de l'Otan n'a rien réglé. Pour vaincre, l'Otan devait aller à terre, ce que les Alliés, pas fous et se rappelant la manière dont les divisions nazies furent accrochées, ne voulaient pas. On négocia donc un nouvel accord Serbes-Russes-Américains-Européens qui déboucha sur une résolution des Nations unies, celle dont on voudra bientôt nous faire oublier l'existence, mais qui est le seul droit applicable : la résolution 1244, du 10 juin 1999 : réaffirmation de l'attachement de tous les États membres à la «souveraineté et à l'intégrité territoriale de la République fédérale de la Yougoslavie ». Appel en vue d'une «autonomie substantielle et d'une véritable auto-administration du Kosovo».

Autonomie. Pas d'indépendance, pas de nouvel État. Préservation de ce vieil acquis européen que sont les accords d'Helsinki. C'est à cette condition qu'il y eut paix, et que l'Europe (et les États-Unis) s'épargnèrent une guerre horrible.

Certes une résolution n'est pas intangible. Si le Conseil de sécurité juge que les Kosovars ont raison de proclamer leur indépendance, il adoptera une nouvelle résolution qui se substituera à la résolution 1244. Mais si le Conseil de sécurité ne modifie pas la résolution 1244 et il ne le fera pas , le droit reste aujourd'hui ce que dit ce texte.

Que la France, après les beaux discours de 2003 sur le respect du droit, suive l'exemple des États-Unis et de la Grande-Bretagne est une triste évolution. Nous n'aurons rejoint le camp ni des réalistes ni des cyniques, mais celui des veules, de ceux qui se refusent, par lâcheté, à négocier encore et toujours.

Une faute contre l'Europe unie. Nous sortons d'une de ces brèves périodes où l'on nous a refait le coup de l'Europe projet, de l'Europe politique.

Et si le Kosovo, situé lui aussi comme on le disait avec excitation de la Bosnie, à deux heures d'avion, n'était pas précisément un beau sujet de délibération pour l'Europe unie à laquelle nous sommes censés tant aspirer. Et que fait donc l'Europe unie ? Rien. Bien sûr, sinon constater ses divisions.

Mais faute contre l'Europe, au sens plus large, l'Europe de nos pères, l'Europe de l'Atlantique à l'Oural, l'Europe qui veut bien accepter de considérer que la Russie n'est pas une steppe peuplée de Tatars aux yeux cruels, que les Slaves sont aussi européens, et allons jusqu'au bout de l'ouverture que les Slaves orthodoxes sont aussi européens. La singularité de la France fut d'être ce pays occidental, majoritairement de culture catholique mais heureusement de tradition laïque, qui tendait la main à l'Orient orthodoxe et noua en particulier de solides relations avec la Serbie et avec la Russie. Vis-à-vis de Belgrade, notre seule offre est celle de l'argent européen. Et vis-à-vis de Moscou, faut-il prendre les devants, déployer des éléments de système antimissile, agiter des drapeaux américains à la barbe des vieux popes ? Prenons garde, dans notre excitation, de ne pas perdre entièrement raison. Réputée bien théoriquement vieux pays recru d'épreuves, etc., la France est-elle assez futile pour se flatter d'avoir un nouvel ambassadeur dans sa capitale avant même que le Parlement ait été saisi, et de gâcher très sérieusement des chances de paix sur le continent ? Alors que l'on peut tout aussi bien faire comprendre comme c'est le cas pour les Chypriotes que la négociation est toujours possible et vaut mieux mille fois mieux que le «bling-bling» d'une «reconnaissance» à la remorque.

http://www.lefigaro.fr/debats/2008/02/20/01005-20080220ARTFIG00655-la-reconnaissance-du-kosovo-c-est-une-triple-faute.php
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Kosovo ou comment monter les peuples les uns contre les autres!


"L'indépendance du Kosovo est un précédent horrible", a dit le président Poutine lors d'un sommet non officiel de la Communauté des Etats indépendants à Moscou.

"En fait, elle fait voler en éclats tout le système des relations internationales n'existant pas seulement depuis plusieurs dizaines d'années, mais depuis des centaines d'années", a estimé le président Poutine.

Le leader russe a estimé que la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo apporterait des conséquences imprévisibles pour la stabilité de la région balkanique, et nous n'en doutons pas, pour de nombreux pays de l'UE dont les minorités ethniques verront d'un œil bienveillant cette déclaration d'indépendance unilatérale. En effet, la position juridique des basques ou catalans espagnols, des flamands en Belgique, des Ecossais, gallois au Royaume-Uni ne sont pas inférieures à celle des Kosovars: demain, une Europe Balkanisée?

Les partisans de l'indépendance du Kosovo "ne pensent pas aux conséquences de ce qu'ils font", a ajouté M.Poutine.

L'annonce de l'indépendance du Kosovo et le soutien politique des gouvernements occidentaux à , comme il était prévisible, déchainée une flambée de violence dans la région. Attaque d'ambassade, manifestations, attentats sur les postes frontières, ostracisme des minorités ethnique.... et velléités d'indépendance des serbes de Bosnie.

Et cela était prévisible tant le Kosovo n'est qu'une arme utilisée par les américains contre la Russie. Pensez vous une seconde que G.W Bush soit attaché au droit des peuple à disposer d'eux même? Non il défend ses intérêts, les intérêts des occidentaux, il cherche à étendre sa zone d'influence et à diminuer celle de la Russie. En s'attaquant au berceau de la nation serbe il ne pouvait pas arriver autre chose qu'une flambée de violence dans la région, et les Occidentaux en étaient parfaitement conscient...

La logique de la diplomatie occidentale est claire depuis 20 ans: repousser la Russie le plus possible, quitte à enfreindre le droit international (Kosovo), à mettre en place des régimes fantoches, corrompus et/ou meurtriers (Géorgie, Ukraine), ou à agiter la carotte de l'adhésion à l'UE comme un outil militaire et non comme le voulaient Monet et Shuman, pour unir les peuples dans la paix.

Et lorsqu'il n'arrive pas à mettre au pouvoir un régime fantoche, pseudo démocratique, il cherche alors à démembrer ce pays ét particulièrement quant ce pays est un ancien et/ou actuel allié de Moscou. Ainsi, dans la logique des néo conservateurs, si la Serbie avait mis en place un régime pro-occidental, résolument tourné vers Washington et Bruxelles, croyez- vous une seule seconde que le Kosovo ne se serait déclaré indépendant ?

La volonté de notre président de défendre les intérêts slaves est la bonne, tant pour les intérêts slaves que pour la paix des peuples en Europe, c'est d'ailleurs pour cela que certains pays Européens comme l'Espagne ne reconnaissent pas l'indépendance du Kosovo.

lundi 18 février 2008

Kosovo, une énième provocation




Le Kosovo vient de déclarer son indépendance. Et l'ensemble des grandes puissances occidentales crient à l'émergence d'un nouveau pays. Ceci une nouvelle attaque contre les intérêts slaves. La SFJP soutient l'idée du droit des peuples à décider d'eux mêmes, nous adhérons également à l'idée qu'une nation est une communauté de destin. Mais de quelle nation parle-t-on, de quel territoire parle-t-on? Le Kosovo a toujours été une terre serbe et ce n'est que depuis l'invasion du kosovo par les forces de l'OTAN que les albanais sont majoritaires sur ce territoire. Si le Kosovo est reconnu par les instance internationales pourquoi celles-ci refusent de donner leur indépendance à la PMR, à l'Abkhazie, à l'Ossetie qui se sont déclarées indépendantes, ont leur gouvernement propre, leurs institutions, et qui fonctionnent de manière autonome depuis longtemps. La réponse est simple: les puissances occidentales mènent une guerre aux intérêts slaves.
Cette independance est une vaste farce dans laquelle les médias sont en train d'entrainer les peuples occidentaux, si la reconnaissance du Kosovo venait à se confirmer, la SFJP appelle à faire respecter le droit des minorités et celui des peuples à disposer d'eux-mêmes par la reconnaissance de la Transniestrie, de l'Abkhazie, de l'Ossetie du sud, du Kurdistan et tant qu'on y est de la Gagaouzie.


VIVE LE DROIT DES PEUPLES A DISPOSER D'EUX-MÊMES, VIVE LA TRANSNIESTRIE, L'ABKHAZIE ET L'OSSETIE LIBRES ET INDEPENDANTES.